Secrets de maraudeuses.
Salut tout le monde, Moi c'est Splendora et je publies ma fanfiction sur Harry Potter. Venez-voir!

Rechercher
Derniers commentaires Articles les plus lus

· Salutations.
· Chapitre 3. La clé de la confidence.
· Chapitre 2. Rêve et tempête.
· Chapitre 1.Maudites fraises!
· Chapitre 4.Le manoir des VanDorft.

· Chapitre 5 L'aile Ouest.
· Chapitre 5 L'aile Ouest.

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "splendora-story" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 02.11.2009
Dernière mise à jour : 23.11.2009
7 articles


Salutations.

Publié le 02/11/2009 à 15:27 par splendora-story
Salutations.

Bonjour tout le monde,

Je m'appelle Splendora et je suis une inconditionnelle de Harry Potter, et plus particulièrement d'un personnage que j'adore sirius Black.

Alors, un jour, j'ai eut l'idée de faire une fanfiction sur lui mais plus précisément sur un personnage que j'ai inventé et qui est sa fille, Alicia. Bien sur, l'histoire est beaucoup plus compliqué que cela...

Venait découvrir mon univers et ses personnages....

 

Secrets de Maraudeuses.

 

Résumé.

 

 

Alicia Montez venait de fêter ses quatorze ans, quand sa mère, Gabrielle, lui avoue qu'elle va bientôt se remarier avec un dénommé Frank VanDorft, un personnage de la société souvent mit en valeur par la pureté de son sang et de ses relations avec le Ministre, mais la mère d'Alicia ne lui avoue pas que cela, elle lui donne aussi une clé en or, qui ouvre une porte qu'Alicia ne connaît pas, du moins pour l'instant.C'est aussi à partir de maintenant qu'Alicia se met en tête de connaître l'identité de son vrai père, enfuit il y a des années, et dont sa mère ne lui parle que très peu. Les seules choses qu'elle connaît sur cet homme mystérieux est qu'il vient d'une famille de sang pur, et que lui et sa famille logée à Londres. Mais qui est cet homme, qu'Alicia veut tant connaître? Fait-elle bien de vouloir savoir toute l'histoire que certaines personnes refusent de lui avouées?

 

Mais voilà qu'elle change d'école, et qu'elle se retrouve inscrite à Poudlard…

 

C'est alors que commence une année tumultueuse, où Alicia rencontreras le dénommé Frank VanDorft, et qu'elle se heurteras à la réalité qu'il n'est qu'autre qu'un mangemort, voué à servir son maître. Elle devras aussi supporter un homme qui semble bien connaître son père, et qui lui voue une haine sans pareille. En effet le professeur Rogue se donne un réel plaisir à maltraité son élève, qu'il sait la fille de son pire ennemi..Mais ne vous inquiétez pas, Alicia n'est pas la fille de sirius black pour rien, elle n'as pas qu'hériter de ses yeux et de la couleur de ses cheveux, mais aussi de son caractère et de son insoucience face au danger. Au moins aussi têtue, immature et irresponsable que son père, Alicia mènera un long combat contre de multiples ennemis, pour enfin découvrir l'identitée secrète de son père…

Mais arriveras-t-elle à ses fins, alors que tant de choses va lui arrivé, va-t-elle réussir à surmonter, même un amour impossible?

A vous de le découvrir...

 

J'espère que ce résumé vous à plus et qu'il a su vous rendre curieux et vous intéressé, malgré les fautes! J'accepterais toutes les critiques, mais bien sur constructives, et surtout toutes les idées.

Je tiens à précisé que l'histoire ce passe pendant la troisième année d'Harry Potter, et donc l'année de l'évasion de Sirius Black.

 

Chapitre 1.Maudites fraises!

Publié le 04/11/2009 à 17:00 par splendora-story
Chapitre 1.Maudites fraises!

 

Chapitre 1.

Maudites fraises!

 

 

 

Samedi 17 Août.

 

Ma mère est étrange c'est temps si, elle est comme distante avec moi, elle me cache quelque chose. J'en suis sur. Mon anniversaire approche, demain seras un grand jour. Enfin, j'aurais quatorze ans et je sais déjà quel cadeau ma mère va m'offrir, le super éclair de feu que je ne cesse de lui demander depuis deux ans. D'ailleurs, cela aussi est étrange, habituellement elle n'aurais pas céder aussi facilement, aussi brutalement à ma demande. Voilà quelques jours qu'elle m'a dit que mon souhait de voler sur un balais neuf serais exaucé, alors qu'elle n'arrêter pas de me dire et répéter que s'était trop dangereux, qu'il était trop rapide. Bien sur, dans ces moments là je me débrouiller toujours pour penser à autre chose pendant qu'elle débitait tout son monologue sur les risques en balais, et bla bla bla....Ce que les adultes peuvent être ennuyeux parfois, que dis-je? Parfois? Tout le temps oui!

 

Je regardais le cadrant de mon réveille, que ma mère m'avais acheté quelques années plus tôt à causes de mon imponctualité légendaire. 20h12 s'affichait en grands caractères rouges sur l'écran, diffusant de la lumière sur les murs de ma chambre. Le soleil commençait déjà à ce couché, et il resté encore quelques oiseaux qui chantait dehors, comme un appel à travers les arbres fleuris du mois d'août. Je n'aimais pas trop l'été, sauf le soir, quand je pouvais sentir l'odeur de la nuit, les senteurs que diffusait les fleurs, que je ne pouvais sentir la journée, à cause de l'odeur trop forte de la chaleur cuisante. Et puis le ciel, sombre parsemé d'étoiles brillante et bien sur...la lune. Cette boule de lumière blanche qui bercer mes nuits, mes soirées. J'aimais la regarder, la contemplait alors qu'elle brillait dans le ciel noir de la nuit. D'un mouvement lent, je refermer mon journal, que j'avais entamait depuis mes dix ans. Un cadeau de mon oncle John. Si souvent absent...trop absent à mon goût. Il était comme le père que je n'avais jamais eut, l'autorité parentale que ma mère était incapable de me donnée, car me punir où même me crier dessus lui était impossible...Trop aimante, trop douce. Elle était la mère parfaite, si gentille, compréhensive et aimante. Elle me donnait tout son amour, et même si je n'avais jamais eut de père, elle comblé du mieux qu'elle pouvait le grand trou béant que l'absence de l'homme qui nousa vait abandonné avait laissé.

 

Je planquais sous mon matelas le journal à la couverture noire, et replaçais la couette de mon lit correctement. Ma chambre n'était pas bien grande, je n'avais de place que pour mon grand lit aux couvertures épaisses, à un bureau près d'une fenêtre encadré de rideaaux blancs, légers et un armoire au bois clair qui abritait tous mes vêtements. Notre maison n'était pas bien grande, un petit hall d'entrée, un salon et une assez grande cuisine, puis un garage deux chambres à l'étages, une salle de bains et quelques placards. Nous ne roulions pas sur l'ors, mais notre vie n'était faite que de petites choses simples, et comme dit souvent ma mère, je ne suis pas une enfant difficile. A part l'éclair de feu, cela faisait longtemps que je n'avais pas demandé quelque chose. Je m'installais derrière la fenêtre ouverte, laissant une vue imprenable sur toute une étendue de vignes sèche, que je survoler parfois en balais, trop heureuse que personne ne puisse me voir, à cause de l'endroit où nous habitions. En effet, notre maison était perdue en pleine campagne, très loin de la grande capitale de l'Angleterre, Londres. Nous n'étions tout de même pas loin d'un petit village nommé Sleep Howls, et de deux autres: Halp's Holy, et Godric's Hollow. Ces derniers n'étaient pas bien grands, mais ils étaient en grande partie habité par des sorciers, et là bas s'était tranquille. D'ailleurs j'avais crus comprendre que ma mère avait vêcut pendant un temps à Godric's Hollow. Allait savoir pourquoi, elle qui ne voulait jamais m'y emmené.

 

-Alicia!m'appela ma mère d'en bas.

 

Je sortais de ma chambre, fermais la porte et descendais les escaliers pour rejoindre ma mère dans la cuisine. Elle était au dessus de l'évier, en face d'une petite fenêtre qui laissait passé un air frais agréable. Elle faisait couler de l'eau sur son doigt ensanglanté. Je m'approcher d'elle, m'asseyant sur le plan de travail, regardant son doigt en fronçant les sourcils.

 

-Qu'est-ce qui t'est arrivé?demandais-je.

 

-Rien qu'une petite coupure à cause de ses maudites fraises, dit-elle en jetant un regard noir au saladier remplis des délicieux fruits rouges. Je souris.

 

-Oui, quelles horribles, abominables petites fraises!renchéris-je. J'espère qu'elles se sont excuser au moins.

 

Descendant du plan de travail, je piquais une fraise dans le saladier sur la table, et revenais à ma position initiale.Je croquais dans la fraise en souriant à ma mère.

 

-Et voilà, une de punis!lançais-je.

 

-Ne pourrais-tu pas être sérieuse quelque instants ma chérie, dit-elle en essuyant avec un torchon le jus rouge qui coulait sur mon menton.

 

-Je suis sérieuse!répliquais-je en saisissant le torchon, sous le regard répprobateur de ma mère. Elles méritent de payer leur affreux crime, et d'ailleurs, dis-je en prenant le saladier dans mes mains, je devrais toutes les punirent! Une par une, comme au bûcher! Et peut être même les tuerais-je d'abord avec un poison blanc et mousseux, plus communément appelé chantilly!

 

J'entendis ma mère soupirais pendant qu'elle rangeait les assiettes lavées dans un placard. Je la trouvais bien sombre ce soir, elle qui riant généralement à toutes mes blagues. Je reposais le saladier sur la table, et croquais dans une nouvelle fraise. Je décidais de briser le silence qui s'était installé depuis quelques secondes.

 

-Au fait, pourquoi tu m'as appelé,demandais-je.

 

-Ah, oui, dit-elle en se retournant et en allant chercher une enveloppe déposait sur le fauteuil du salon, qui communiquait avec la cuisine. Maïly t'as envoyé une lettre. Elle viens d'arriver, et aparemment elle veux une réponse, Gérolde ne bougeras pas d'ici avant que tu lui donnes une nouvelle lettre!

 

Gérolde était la chouette de Maïly, ma meilleure amie, une sorcière elle aussi. Nous alions à la même école depuis toujours, s'était une petite écolde de magie, faite pour les enfants trop éloignés de Londres, qui ne pouvait accédé à Poudlard, s'était plutôt pas mal. J'avais connus Maïly lors de mes cinq ans, sa mère et la mienne sont très amies et sont devenues avec les années de vraies soeurs, comme moi et Maïly l'étions. Je partageait absoluement tout avec elle, s'était la soeur que je n'avait pas, ma confidente, mon double.

 

J'ouvris la lettre que ma mère m'avais donner, gardant une fraise coincée entre mes dents, prête à être avaler.

 

Alicia,

 

Voilà maintenant trois jours que je n'ais pas de nouvelles de toi! Non mais qu'elle impolitesse! Je rêve, on réponds plus à ces amies, hein?!

 

Je souris, je savais qu'elle disait cela en rigolant, bien qu'elle avait raison et que j'aurais déjà dù répondre à sa dernière lettre.

 

J'ai absolument besoin d'une réponse, sans cela je ne pourrais pas donner la mienne à mes parents, m'enfin disons plutôt que s'ils voient que je me fait à l'idée de déménagée, ils croieront que je suis contente!Pff....c'est hors de question, je ne pars pas sans toi! Alors bouges-toi et réponds!

 

Sinon, comment tu vas? Ta mère est toujours bizarre?

 

Amicalement,

 

Ta soeur, Maïly.

 

Je relut la lettre une deuxième fois, comme toutes celles que Maïly m'envoyait je la relisais. Cela me faisait du bien de savoir comment elle allait, j'avais presque l'impression qu'elle était là, à côté de moi à se plaindre de mon manque flagrant de rapidité à lui répondre. Mais en réalité, je n'avais pas répondu car je n'avais pas de réponse à sa question. Il y a quelques jours, Maïly m'avais envoyé une lettre disant que son père avait trouvé un poste au ministère de la magie, et qu'ils allaient devoirs déménagés, tous les trois à Londres dans une semaine. Maïly m'avait demandé si ma mère accepterait que j'entre à Poudlard avec elle, ses parents s'étaient portés volontaires pour m'emmenais à la gare avec eux. J'avais d'abord paniquais de ne plus revoir ma meilleure amie, ma soeur comme j'aimais l'appelé, puis je m'étais promis de convaincre ma mère de dire oui. J'étais sur de pouvoir y arrivait. J'étais déjà excitée rien qu'à l'idée d'entrer à Poudlard, l'école où j'avais toujours rêvé d'étudié. Je mettais la lettre dans la poche de mon short, et descendais du plan de travail, pour rejoindre ma mère dans le salon. Elle était devant la télé, à regardé un spectacle comique. Normalement, j'adorais regardé ce genre de choses, je trouvais les moldus tellement amusants, ma mère aussi d'ailleurs aimé beaucoup les moldus. Des fois j'avais même l'impression qu'elle préféré vivre en tant que tel, en fait c'est ce qu'elle faisait: elle travailler comme une moldu, elle faisait la serveuse dans un petite bistro sympa dans le village d'à côté, où moi et Maïly allions souvent d'ailleurs, et puis elle n'utilisais que rarement la magie. J'appuyais mes bras de chaque côté de sa tête, sur le rebord du canapé, derrière elle et penché la tête vers le bas pour la regardais. Elle avait levé la tête. Mes cheveux noirs lui chatouiller le visage et elle sourit tendrement.

 

-Je peux te demander un truc man', dis-je avant de venir m'assoire à côté d'elle.

 

-Je t'écoute ma chérie.

 

-Voilà, Maïly et ses parents vont bientôt déménagés, comme tu le sais déjà surement, lui dis-je, elle approuva. Et Maïly vas aller à Poudlard cette année, alors ils m'ont proposé d'y allait aussi. Je la vis grimaçait et je sentis que ce n'était pas bon signe. Ne t'inquiètes pas, rajoutais-je. Ils se sont proposés pour m'amener à la gare le premier septembre et me ramener en fin d'année, et aussi pour les vacances. Tu n'auras pas à faire les trajets...

 

-Ce n'est pas les trajets Alicia, le problème...

 

-Parce qu'il y en a un? Tu ne veux pas que j'aille à Poudlard, pourtant c'est la meilleure...

 

-...école de sorcellerie du monde, finit-elle lassé, sa tête appuyé contre le haut du canapé. Je suis désolé ma chérie, mais je ne pense pas que tu devrais aller là bas. Tu ne t'y plairais pas, et puis c'est si loin. Ton école ne te plaît plus?

 

-Si, mais tu sais très bien que ce n'est pas le problème man', je veux être dans la même école que Maïly!répliquais-je. C'est déjà difficile de ne pas se voir toute le temps, mais si elle va habiter à Londres...

 

-Je sais bien Alicia, mais vous ne pouvez pas rester collé tout le temps enfin! Vous pourrez toujours communiqué par lettres, et puis on l'inviteras pendant les vacances...

 

-Pourquoi? Si je vais à Poudlard je pourrais la voir tout le temps, et puis je ne vois pas pourquoi tu ne veux pas que j'y aille! Tu y a bien été toi! Pourquoi moi je n'en aurais pas le droit?!

 

-Parce que je l'est décidé, s'énerva-t-elle en ce levant. Et puis quand je dis non, c'est non!

 

Je me levais aussi,et allais la rejoindre dans la cuisine. Enervé comme jamais, je ne comptais pas me laisser faire. J'irais là bas coùte que coùte!

 

-C'est injuste!m'insurgeais-je. Donne-moi une seule raison valable pour que je n'y aille pas!

 

Elle semblait cherchais, mais rien ne sortit de sa bouche. J'affichais un sourire vainqueur.

 

-Tu vois?! Il n'y a aucune raison! Donc, j'y vais!

 

-Une minute jeune fille, tu ne peux pas y aller sans mon accord, et puis j'ai une raison valable, dit-elle.

 

-Laquelle?

 

-Tu me manquerais trop, avec ton école, tu rentre tous les soirs,et si tu vas à Poudlard je ne te verrais que très peu, fit-elle d'une voix douce, elle

essayait surement de m'atendrir, et le pire c'est que ça marcher!

 

-Maman!râlais-je, puis me vint une idée. Et si on partais toutes les deux, on ne serrais plus si loin que sa, et puis si tu habite à Londres toi aussi,

je pourrais voir Maïly mmême pendant les vancances! Ce serais super!

 

Elle soupira, abandonna.

-Très bien, dit-elle. Je vais y réfléchir, mais je ne te promet rien Alicia!

-Super je t'adore man', m'exclamais-je en sautillant jusqu'à elle pour la serrrer dans mes bras. Je vais tout de suite le dire à Maïly!

-Attends, je n'est pas dit oui!s'exclama-t-elle, mais il était trop tard, j'étais déjà monter en haut.

J'entrais dans ma chambre, et m'installé à mon bureau, prenant du papier et une plume, je rédigeais une réponse enthouisiaste à ma meileure amie. Je lui disais qu'il ya avait de forte chances, pour que je la suives à Poudlard, et pour que je vienne peut être habité à Londres! Elle serait heureuse, j'en étais certaine! Et c'est dans cet état de pur bonheur que je m'endormit, paisiblement.

Chapitre 2. Rêve et tempête.

Publié le 04/11/2009 à 17:06 par splendora-story
Chapitre 2. Rêve et tempête.

 

Chapitre 2.

Tempête et rêve.

 

 

 

Dimanche 18 août.

 

Quel rêve étrange! Je viens de me réveiller d'un long cauchemar, si bizarre, si...non décidément le mot bizarre le définit très bien à lui tout seul. Dans ce rêve, enfin plutôt devrais-je dire cauchemar, j'étais assise dans l'herbe près d'un lac, et au dessus de moi se trouvait un saule pleureur magnifique, qui de ses branches aux feuilles vertes me faisait de l'ombre. J'étais si bien, tout avait commencé en douceur, et j'avais ce sentiment de plénitude rare que nous offrait la vie. Et là, tout d'un coup, alors que je ne m'y étais en aucun cas préparé, une ombre sortie de l'eau, comme un taurot montrant ses cornes, diriger par la folie et la fureur pure. S'était une sorte de nuage de fumée noir, une sorte d'ombre dans l'air, ne représentant rien d'indentifiable, du moins pour l'instant, car très vite elle pris la forme d'un gigantesque chien noir, ou un loup...en fait je n'en sais rien, je ne me décide pas entre les deux. Un chien? Un loup? Peu importe, toujours est-il que ça ma fichue une peur bleue. Heureusement, au moment où le chien ( ou loup) commença à avancer vers moi pour m'attraper, je m'étais réveiller en sursauts, des fils de sueurs coulant sur mon front et mon cou.

 

Je frissonais rien qu'au souvenir de ce cauchemar. Le plus bizarre était que d'habitude je n'en faisais jamais, pas un seul et là tout à coup je me mettait à rêvé d'ombre voulant m'attraper. Non mais vraiment, quelle idée de rêvé de cela. Surtout que je n'en voyait pas le sens. Une ombre se transformant en chien, ou loup, bref peu importe...

 

Je ne cherchais pas plus d'explication, et griffonait sur mon journal l'ombre en forme d'animal qui m'avait fait si peur, puis je rangeais soigneusement mon journal dans sa cachette habituelle. Le soleil s'était levé il y a déjà quatres heures, et le cadrant de mon réveille affichait 9h17. Je souris, et me précipité vers mon armoire, l'ouvrant avec brusquerie, soulevant, retournant mes affaires pour enfin trouver la tenue qui irait parfaitement avec cette merveilleuse journée qui s'annonçait, car aujourd'hui j'avais enfin quatorze ans...

 

J'hurlais d'hystérie dans ma tête, rien qu'en pensant à l'éclair de feu qui devait surement m'attendre en bas, avec ma mère qui pleurerait, comme à chacun de mes anniversaires, à causes du temps qui passe, et du fait que je grandissait trop vite. Les mères sont toutes aussi émotives?

 

"Je crois bien que oui"me dis-je à moi-même alors que je brandissait devant mes yeux un magnifique bustier bleu foncé, et un short blanc en lin. Parfait! Tout à fait les couleurs qui définissait mon humeur. Le blanc: une couleur clair, qui exprime ma joie et le bleu qui était ma couleur préféré. Tout se passais bien, et j'étais sur que cette journée allait être la meilleure de ma vie...

 

 

Ma mère m'attendait en bas, comme je l'avais prédit, et semblait occupé à lire une lettre qui venait d'arriver, à en jugé par l'énorme faucon noir qui était perché sur le rebord de la fenêtre. Je ne l'avais jamais vu auparavent, mais j'étais trop focalisait sur l'air sérieux et limite horrifié de ma mère, pour prêtait attention à l'animal. Elle ne faisait cette tête que quand on lui apportait de mauvaises nouvelles, et là j'étais sur que s'était le cas.

 

Elle ne remarqua ma présence qu'une fois que je murmurais prudemment son prénom. Elle parut surprise, puis son expression changea du tout au tout, elle semblait même un peu en colère, et sa voix trahissait son angoisse. Je ne comprenais rien de ce qui se passé.

 

-Tu est déjà levé ma chérie?dit-elle d'un ton un peu plus dur que d'habitude. Elle s'était tournée et commença à essuyer une assiette qui ne semblait pas en avoir réellement besoin.

 

-Oui, depuis un petit moment déjà, tu ne m'as pas entendu depuis tout à l'heure?fis-je en m'approchant du grand faucon noir perché sur le rebord de la fenêtre de la cuisine, un peu au dessus de l'évier.

 

-Non, je n'ai pas du t'entendre, murmura-t-elle, puis reprenant contenance elle s'exclama avec joie, Bonne anniversaire ma puce!

 

Je souris tristement, elle essayait de changé de sujet. Bien, je fis comme si je n'avais rien remarqué et me tournais pour que ma mère me prène dans ses bras. Je vis la lettre dans sa poche droite, mais n'eut pas le temps d'en prendre possession car déjà elle me relâcher pour partir dans le salon d'un pas enjoué. Je la suivis.

 

Notre salon n'était pas bien grand, mais il laissait de la place pour quelques meubles, une cheminée, une télé dans le coin droit, un canapé, et une petite table basse. Ma mère était penché sur un grand et long paquet, qui posé sur le canapé, ressembler étrangement à l'objet de mes rêves. Je souris, et elle me le tendit.

 

-Même si tu sais déjà ce que c'est, joue le jeu, dit-elle avec une petite moue. Je ris, puis le pris en main, pour défaire le papier orangé qui l'emballé. Il était magnifique, comme dans mes rêves, et je me voyais déjà grimper dessus pour affronter mes adversaires. Sa y est, j'avais enfin un éclair de feu, et je n'allais pas le laissé dans un placard toute l'année, à ça non, je peu vous l'asurez!

Mais ce moment de joie fut interrompu par le cri strident du faucon sur la fenêtre. Nous nous tournâmes toutes les deux.

Je froncer les sourcils.

 

-Apparemment, ton correspondant attend une réponse très rapide, fis-je remarquais mais je ne me doutais pas encore de l'autenticité de mes propos.

Ma mère sembla tout d'un coup très nerveuse, se mettant à bafouillée.

 

-Un...un correspondant?!s'exclama-t-elle en s'approchant du faucon pour le caresser gentillement, d'une main tremblante. Mais pas du tout! Je...je ne vois pas de quoi tu parles! Je...je n'ais pas de cor...respondant!

 

Je souris, victorieuse. S'était donc cela, maman avait un petit-ami et elle avait peur de ma réaction. Je la rassurez de suite.

 

-Maman, si tu sors avec un homme sa ne me gènerais pas le moins du monde, alors cesse de faire l'innocente et dis-moi qui c'est!fis-je en m'asseyant comme à mon habitude sur le plan de travail de la cuisine.

Son visage se fendit en un sourire timide.

 

-C'est vrai? Sa ne te gèneras pas que je soit avec un homme?me demanda-t-elle.

-Bien sur que non, ce n'est pas parce que je suis là que tu doit t'empêcher de vivre! Tu as le droit d'être heureuse, alors t'inquiètes...c'est cool,rajoutais-je en haussant les épaules attrapant un croissant pour le mettre dans la bouche.

 

Elle sourpira, de soulagement mais aussi d'énervement.

 

-Ne peux-tu pas manger correctement?!dit-elle en se massant le front.

-Ne peux-tu pas me dire enfin qui est l'heureux élut?!contre-attaquais-je.

Elle me lança un regard noir, et je répondis par un sourire narquois.

-Tu ne le connaît pas, il travail au ministère, à Londres, et il est assez haut placer. Il est très important dans son travail, alors nous ne nous voyons pas souvent. Mais il est très intelligent, et gentil, peu être un peu froid sur les bords mais il a un bon fond.

-Tu dis qu'il habite à Londres?!m'exclamais-je.

-Oui, et d'ailleurs il nous invite à le rejoindre demain,dit-elle en brandissant la fameuse lettre, que au passage j'essayais de prendre, malheureusement ma mère fut plus rapide que moi.

-D'accord sa va, je ne la lirais pas,dis-je.

-Promis?

-Promis, mais puis-je alors avoir le privilège de prendre connaissance du nom du mystérieux inconnu qui à voler le coeur de ma mère?dis-je d'un ton assez snobe, que prenne les grandes dames.

-Frank Van Dorft, dit-elle.

Je lever un sourcil surpris.

-On dirait le nom d'une grande famille royale,rigolais-je.

-C'est un sang-pur, il a une grande famille, dit-elle un peu plus bas.

Je m'étouffer avec mon croissant. Un sang pur?! Non, j'avais mal entendu! Comment maman pouvait-elle remettre ça avec un sang-pur, alors que celui qu'était mon père l'avait abandonné à ma naissance?! L'histoire allait-elle se répéter? Et si ce Frank machin chose était aussi lâche que mon soit disant père?

 

.......................................

 

-Tu te rend compte Maïly?! Un sang-pur! M'écriais-je alors que ma meilleure amie était assise sur le bord du lac, ses pieds trempant dans l'eau fraîche et clair qui s'étendait devant nous. Moi qui pensait qu'elle détestait elle aussi les sang-pur...

-...a cause de ton père, finit Maïly à ma place alors que je me laisser tomber à ses côtés.

-Oui, soufflais-je. Tu crois qu'il est pareil, qu'une fois qu'il se rendra compte que ma mère ne lui auras pas donné de garçon, il s'enfuiras...comme lui.

-Tu leur prévois déjà une gamin?s'étonna-t-elle.

-Ben, oui il faut bien que je me fasse à l'idée que ma mère est amoureuse, et qu'ils finiront par avoir des enfants,fis-je, puis je continuais d'un ton plus dur, les yeux dans le vague. Mon père est parti parce que j'étais une fille, et qu'en bon sang-pur il aurait voulut un garçon pour qu'il devienne comme lui. Si ma mère épouse ce Frank, et qu'elle a une fille, tu crois que sa se passeras pareil? Et qu'il s'enfuiras?

Maïly ne me quittait pas des yeux, elle me scrutait essayant de comprendre mes états d'âmes, et je savais qu'elle y arriver sans mal. Ses grands yeux chocolats reflétait le même état que le mien, et ça à cause de l'amitié qui nous relié. Maïly et moi étions en quelque sorte soudé par un lien étrange, quand l'une de nous souffrait l'autre aussi, et nous partagions absoluement tout, notre humour, nos idées farfeulues, notre goût prononcé pour la feignantise, nos sautes d'humeurs, nos blagues, nos secrets, nos angoissent...s'était cela avoir une soeur, et nous remplissions chacune notre rôle à merveille.

Après quelques secondes passaient, elle soupira et tourna la tête vers le lac, et un brin d'air frais fit voletait ses cheveux bonds et lisses, comme les miens, à la seule différence que les miens étaient noirs de jais, avec des mèches plus clairs.

-Franchement Alicia, je crois que t'inquiète pour rien, et je crois plutôt que tu pense trop à ton père en ce moment. C'est normal que tu est peur pour ta mère, je sais bien que vous êtes très proches l'une de l'autre, et c'est super mais tu devrais la laisser gérer, tu ne crois pas qu'après ce qui c'est passer avec ton père elle feras plus attention et qu'elle ne commettra pas les mêmes erreurs?

-Si mais...

-Fait confiance à ta mère, me coupa-t-elle gentillement, puis se levant d'un coup elle me tendit la main un sourire aux lèvres.

-On va quelque part?m'étonnais-je pendant que j'agrippait sa main pour me relever en un éclair.

-Oui, on part à la conquête d'une l'île matellot!fit-elle en faisant semblant de remettre une épée imaginaire dans sa ceinture.

-Oh!Et quand devons-nous embarqué capitaine Stewart?!dis-je en me prenant au jeu, sachant très bien ce qu'elle avait en tête.

Nous nous regardâmes, puis en une seule voix égale, nous nous écriâmes en coeur: «Maintenant!», puis nous sautâmes dans l'eau du lac.

 

L'eau était fraîche et nous n'avions mit que dix minutes pour arriver au petit endroit de terre qui se trouvait au centre du lac. S'était une toute petite forêt, remplis d'herbes vertes et de fleurs multicolores. Cet endroit était parfait, car quand le soleil tapait fort de doux rayons traverser les feuillages des arbres et venaient éclairer le sol doux et ferme du petit îlot. S'était notre terrain de jeu préféré quand nous étions petites. Nous restâmes longtemps allongés dans l'herbes, les yeux éblouis par le soleil, et les cheveux éparpillés autour de nous. Nous riâmes pendant un petit moment en nous rappelant des souvenirs et vint bientôt l'heure de rentrer.

-Mes parents vont s'inquiéter, me dit Maïly.

-Oui, et ma mère va piquer une crise si je rentre pas à l'heure, renchéris-je alors que nous nous levions pour partir.

 

Le soleil s'était un peu couché, et nous étions revenus à la nage, après tout nous sècherions sur le chemin. Il nous fallait environ un quart d'heure pour rentrer, si ce n'est plus et nous devions rentrer à 18h00 pile. Quand nous sortîmes de l'eau un vent glacé nous transperça de partout, et c'est avec les cheveux mouillés et les vêtements trempés que nous avancions malgré la fraîcheur soudaine de l'air, et les gros nuages noirs qui prenaient places au dessus de nos têtes.

Alors que nous n'étions plus très loin chez Maïly, le tonnerre gronda et le ciel devint noir corbeau. Des gouttes commencèrent à tombaient, et nous nous dépêchâmes de nous mettre à l'abri. Je la raccompagner sous le perron.

-Tu est sur de ne pas vouloir rester à la maison le temps que l'orrage se calme?me demanda-t-elle pour la centième fois.

Je soupirais.

-Non, t'inquiètes,je vais vite rentrer et pis c'est pas si loin,dis-je.

-D'accord, mais demain n'oublies pas je veux te voir voler sur ton l'éclair de feu!!me dit-elle en ouvrant la porte de chez elle.

-Heu...je crois que ça vas pas être possible, je vais à Londres avec ma mère, dis-je.

-Chez son petit-ami?

-Ouais, il nous invite à passer la journée je crois, mais je sais pas à quel heure je pars, et attends si tu veux je peux te prêter mon balais pour toute la journée?! Comme je vais pas m'en servir demain, et que tu meurs d'envi de monter dessus...

-D'accord, dit-elle précipitament.

Je ris.

-Et ben, faut pas te le dire deux fois toi!fis-je.

 

..............................

 

 

J'étais encore plus trempés que tout à l'heure, l'orrage avait empiré et je me trouvé qui plus est sous un gros nuages noir, menaçant. Les étendues d'herbes ne ressemblait plus qu'à des terrains boueux, qu'on aurait piétinés et les fruits des arbres tombaient, secoués par le vent et la pluie. J'avais empreinter son gilet à Maïly mais j'avais toujours froid, il était 18h10 et je n'étais toujours pas rentré. Ma mère allait me passer un savon. Sur le cadran de ma montre des gouttes d'eau s'étaient écrasées et je pensais vraiment que je ne rentrerais jamais si je passer par le chemin habituel, qui aujourd'hui devait surement être plus que boueux, et j'en eux confirmation quand je m'arrêter à l'entré du chemin. Du vrai sable mouvant! Je n'avancerais jamais là dedans!

Je décidais de prendre un chemin plus sur, à travers la forêt, où il n'y avait pas de boue. S'était plus long, mais plus facile.

S'était en somme une petite forêt, bien protéger par les arbres, et qui était en partie recouverte de mousse verte. Certains arbres étaient tombés, et leurs branches gisaient sur le sols entirèrement recouverts de mousse.

J'avançais pas à pas, et je fus plus rapide quand j'entendis des bruits bizarres. Il n'y avait pas de loup ici? Hein?

Oh, pourquoi ces choses là arrives toujours aux mêmes personnes?! J'aurais dù rester chez Maïly!!

 

Après une petite demi-heure, je vis enfin ma maison et soufflais de soulagement. D'ici j'apercevais les lumières du salon et de la cuisine, et travers de la petite fenêtre au dessus de l'évier je vis ma mère scrutait les alentours. J'allais passer un mauvais quart d'heure...

 

Je ne frappais pas à la porte, et entrais dans le hall d'entrer bientôt accueillis par deux bras fins qui m'enlacèrent, et me recouvrèrent d'une couverture chaude.

-J'étais si inquiètes!disait ma mère. Non, mais quelle idée de sortir par ce temps-ci! J'ai même appelé les parents de Maïly! Oh, Alicia quand vas-tu prendre un peu de plomb dans la tête, et arrêter de faire ce qui te convient??! Tu ne penses donc jamais aux conséquences?!

-Hum...rarement, fis-je pendant qu'elle me conduisait au salon.

 

Et là j'ouvrais grands les yeux, trop surprise pour le croire! Il était là! Après des mois et des mois d'absence il était là!! Je courrias vers lui, et sautais dans ses bras.

-Oncle John!m'écriais-je toute heureuse.

-Ahh, ma nièce préféré!dit-il en me reposant par terre, me serrant dans ses bras.

-Tu...l'étouffe ta nièce, réussis-je à articuler sous la pression de ses bras, il me relâcha aussitôt. Et pis, continuais-je. Je suis ta seule nièce, c'est logique que je soit ta préféré!

Il ris de bon coeur.

-Quand vas-tu obéir à ta mère?me dit-il d'un ton de reproche.

-Quoi?Mais je lui obéit, j'y peu rien si l'orrage n'a pas voulut que je rentre à l'heure! M'exclamais-je la mine boudeuse.

-Oui, bien sur c'est l'orrage...murmura-t-il peu convaincu.

-Arrête de faire comme si j'étais coupable, se m'énerve!ris-je en lui tapant l'épaule gentillement.

-Quel force!se moqua-t-il.

-A ouais?!fis-je. Tu vas voir de quoi je suis capable!

 

Nous partîmes dans un combat de catch acharné, tout en riant et je savais que ma mère nous regarder avec desespoir à l'autre bout du salon. Je l'entendis soupirais.

-Vous n'êtes que des gamins!dit-elle en allant préparer le repas.

-Oui, mais moi j'ai une excuse je n'ai que quatorze ans!dis-je en me relevant difficilement tandis que mon oncle recoiffé ses cheveux bruns.

Comme vous vous en doutait, John est le frère de ma mère et depuis toujours il occupe en quelque sorte la place que devrait avoir mon père. Ce père inconnu, qui nous avait toutes les deux abandonnées, moi et ma mère. John travail beaucoup, et fait de nombreux voyages aux quatres coins du monde. Son travail? Alors là, ne me demandais pas, c'est soit disant classé top secret, et ni moi ni ma mère savons exactement ce qu'il fait pendant ces longues absences. Heureusement, il n'était pas marié alors il n'avait à ne se soucier de rien, à part de nous mais ma mère lui répéter sans cesse qu'on se débrouiller très bien.

Nous passâmes une belle soirée, et quand le dîner fut prêt nous nous assîmes autour de la table de la cuisine. Riant, et discutant comme si John n'était jamais partit...

 

Plus tard dans la soirée...

 

 

-Tu est sur que ça va?chuchota John à l'oreille de ma mère, pendant que je regardais la télé, assise sur le canapé. Ils devaient sans doute croirent que je m'étais assoupi. Je décidais de ronflé un peu, tendant les oreilles quand même.

-Puisque je te dis que oui, s'énerva-t-elle doucement. Et puis taits-toi, Alicia va t'entendres!

-Elle dort, dit-il. Quand vas-tu enfin lui dire?!

-Jamais,souffla-t-elle.

J'entendis mon oncle soupirais, énervé.

-Elle finiras par l'apprendre Gabrielle,dit-il. Ta fille est plus intelligente et observatrice que tu ne veux le croire, ce n'est pas parce qu'elle ne pose pas de questions qu'elle n'y pense pas. Elle voudras bientôt obtenir des réponses clairs, et tu ne pourras pas échapper à ça!

-Qui te dis qu'elle voudras savoir?!siffla-t-elle entre ses dents. Alicia se fiches de savoir qui c'est!

-Pour l'instant, mais elle va bientôt vouloir le savoir et peut être même le rencontrer! Je ne la laisserais pas approcher de lui! Il ne la mérite pas, ce n'est qu'un...

-Sa suffit John!le calma ma mère. Cesse de parler de lui, nous avons la même conversation tous les ans, et tu vois bien qu'il ne se passe toujours rien.

-Bien, changeons de sujet,dit-il d'un ton cassant. Comment va Frank?!

Il avait employé un ton encore plus dur, et ma mère avait fait tomber quelque chose au sol, je ne savais pas ce que s'étais mais en tout cas s'était cassé. Je décidais de me réveiller à ce moment là.

-Tu a le don de choisir les sujets qui fâche!lui lança ma mère avant de venir me voir.

Je m'étais relevée légèrement et feignais d'être enocre quelque peu endormi. Je massais mes yeux, mi-clos et murmurais d'une petite voix.

-Qu'est-ce qui se passe?demandais-je alors que ma mère me recouvrait d'une couverture.

-Rien mon ange, murmura-t-elle. Rendors-toi, ton oncle va te porter jusqu'à ton lit.

J'aquiesçais faiblement, et sentis deux bras forts me soulever et me faire monter les escaliers. John nous fis vite arrivés dans ma chambre. Il ne disait rien, mais je savais qu'il était énervé? Pourquoi? Alors ça, je n'en savais rien. La conversation qu'il avait eut avec ma mère m'avait donné l'impression d'entendre deux chinois parlaient ensemble.

Il me posa dans mon lit, remontant les couvertures sur moi.

-Dors ma princesse, souffla-t-il.

Je souris et murmurais un bonne nuit à peine audible. Il embrassa mon front, et sortit de ma chambre. J'étais paisible, et le mince fil de lumière qui traversait les carreaux de ma fenêtre, me berça, éclairant mon visage. La lune était si belle, que je m'endormit avec l'image de la magnifique sphère blanche dans les yeux...oubliant le tonnerre, les éclairs et la pluie qui tombait dehors...oubliant tout, pour sombrer dans un sommeil paisible.

 

 

Chapitre 3. La clé de la confidence.

Publié le 04/11/2009 à 17:16 par splendora-story
Chapitre 3. La clé de la confidence.

 

Chapitre 3.

La clé de la confidence.

 

 

 

 

Lundi 19 Août.


 


 

Quel bonheur d'avoir quatorze ans et d'avoir son oncle à la maison! Quand j'étais petite, à chaque fois que John revenait d'un voyage à l'étranger il me ramener un cadeau. Du coup, j'ai toute une étagère pleine de pierres précieuses, de colliers divers, de bracelet, sans oublier un magnifique miroir de poche et mon beau journal à la couverture noire et dure. Malheureusement, depuis mes onze ans, il avait arrêter de me rapporter ses présents que j'adoré collectionner. Bien sur j'étais trop fier pour lui dire que cela me manqué, mais je n'en pensais pas moins.


 

Depuis hier, ma mère et John se comportaient très bizarrement, et ce sentiment ne fut que plus renforcer par la discution qu'ils avaient eut hier au soir, alors qu'ils me croyaient endormis sur le divan. Je me demandais bien ce qu'ils pouvaient me cacher, et j'étais bien décidé à le découvrir. Je détestes les secrets! Que tout le monde en ait, ce n'est pas cela qui me dérange, mais plutôt le fait que lorsque qu'une personne à un secret qui concernes plusieurs autres individus, elle ne les mets pas dans la confidence! J'ai toujours sur que ma mère ne me dirait jamais qui été vraiment mon père, et jusqu'alors ça ne me dérangé pas, me moquant moi-même de son identité, mais à présent s'était différent. Pourquoi? Cela je n'en savais strictement rien, mais un sentiment étrange me poussait à pensé à lui, à vouloir toujours savoir plus sur lui et de connaître les raisons de son départ, bien qu'elle m'avais été énnoncées par mon oncle, lorsque j'avais eut dix ou onze ans. Celui-ci m'avait alors dit que son rang de sang-pur lui préconisait d'avoir un fils, ou plusieurs et que par conséquents quand il m'avait vu pointé le bout de mon nez, il avait tout de suite fuit. Je lui avait alors posé la question qui hantait mes esprits: mon père aimait-il ma mère? Où étais-ce seulement un marriage arrangé?

Il n'avait pas répondu, bien sur, et avait détourné avec briot mon attention. Je sais, je sais mais comment résister à un gâteau au chocolat à cette âge là?!


 

Je posais ma plume, rangeais l'encre, et mettais mon journal dans le sac bleu foncé où j'avais déjà préparé quelques affaires pour notre départ à Londres, où nous devions moi et ma mère rejoindre ce fameux Frank VanDorft. John devait lui aussi partir vers la Chine je crois, ou peut être le Japon. En tout cas, ce qui est sur c'est qu'il ne portait pas ce VanDorft dans son coeur, il avait plusieurs fois ce matin fait des remarques hostiles en vers le nouveau petit ami de ma mère. Cela me faisait plutôt rire en fait, mais ma mère avait passé la matinée à lui jetait des regards lourds de sens à chacune de ces remarques. L'ambiance à la maison était assez étrange, un ensemble de zondes tendues et un chouia de tristesse. Je ne comprenait vraiment pas ce qui poussait John à détestait à ce point Frank VanDorft, mais je m'étais cela de côté, après tout je verrais bien ce fameux personnage en arrivant à Londres.


 

Pendant que je remplissait mon sac, ma mère et John étaient en bas, ils m'avaient subtilement fait comprendre de monté me préparer pour les laissés discuter entre adultes. Je les soupsonner de parler de Frank, et bien que cela m'intriguer je n'avais d'abord pas écouté en douce leur conversation, mais à présent que mon sac était prêt, j'avais un bonne excuse.

Je me faufilais en dehors de ma chambre et me penchais au dessus de la rambarde de l'escaliers pour essayer d'entendre une quelconque bribe de conversation. Rien. Je me mettais au quart des escaliers. Toujours rien. A la moitiée des escaliers. Humm...c'est presque ça, je pouvais distinguait leur voix. Je m'approchais encore, arrivant finalement en bas. Ah! Voilà qui était mieux.


 

-...le fait qu'elle ne s'y interresses pas maintenant prouve qu'elle ne s'y interresseras jamais,disait ma mère.

-Qu'en sait-tu?dit John. Peut être qu'elle se pose milles et unes questions sur lui, et qu'elle nous caches juste son interêt pour l'homme qui la abandonner!

-Je suis sa mère, si elle voulait savoir de qui il sagit elle serais venu me voir!

John rit, mais moi je me prétrifiais. Comment n'avais-je pas compris plus tôt?! Comment n'avais-je pas fait le rapprochement?! Il parler de mon père, s'était évident!

-Tu crois vraiment qu'elle viendrait t'en parler, tu as toujours refusé de discuter de cela,dit-il. Alicia doit surement pensé que tu à tellement souffert à cause de lui qu'en parler te serais impossible!

-Tu crois cela?!s'énerva ma mère. Tu crois que parce que l'homme avec qui j'étais, celui que j'avais choisi et aimé m'a abandoné que je ne serais pas capable de passer à autre chose et continuais à vivre?! Tu crois que si Alicia voudrait le conaître je lui interdirais de s'en approcher?!

-Oui, je le crois, dit John dans un souffle. Je le crois et j'en suis sur. Cette histoire t'as tellement affecté et désespéré qu'il t'est impossible de voir clairement que ta fille aurait voulut connaître son père. Qu'elle l'aime, même si elle et toi refusait de l'admettre. Je crois aussi que tu fait cela pour son bien, mais il serait temps que tu pense à ton bien à toi, et tu ouvres les yeux sur les dangers auxquels tu esposeras Alicia et toi même en entrant dans un monde que tu ne connais pas, autrement dit en allant chez les VanDorft. Tu sais très bien ce qu'ils sont...


 

Je levais un sourcil surpris. Qu'avait les VanDorft de spécials? Je n'eus malheureusement pas le temps d'en écouter plus car le silence qui régna soudain dans la pièce à côté me fit comprendre que ma présence avait peut être été repéré. Je me dêpéchais de montais à l'étage, et je n'eux juste le temps de voir John ouvrir la porte du salon avant que je puisse fermer celle de ma chambre.


 


 

…...............................................


 


 


 

-Alicia, nous partons!cria ma mère d'en bas, me signalant qu'il était leur de partir pour Londres.


 

Je saisis mon sac, regardé ma chambre comme si s'était la dernière fois que je la voyais. Je ne su pourquoi mais un sentiment de nostalgie emplit mon être tout entier. J'avais cette impression que plus jamais les choses n'allaient être comme avant, que plus jamais je ne plongerais dans le lac avec Maïly pour rejoindre notre petit îlot, que plus jamais je ne m'allongerais sur mon lit une plume à la main en tenant fermement mon journal, que plus jamais je ne retrouverais ma vie tranquile éloigné des bruits de la ville...que plus jamais cette maison serait la mienne.

Mon coeur se serra à cette pensée, mais je fus bien obligé de quitter ce qui avait été ma chambre depuis toujours.


 

J'arrivais en bas, et ma tête du faire comprendre à ma mère ce que je ressentais.

-Ne t'inquiètes ma chérie, nous reviendrons bientôt, me dit-elle. Ce n'est qu'un petit séjour chez Frank. Ce n'est pas comme si nous n'allions plus revenir. Un ou deux jours passait à Londres, ce n'est rien!

-Ouais, dis-je peut convaincu.

-Allez il est temps!dit John en nous rejoignons dans le hall.

Je lui souris.

-Au revoir mon oncle préféré, fis-je en le serrant dans mes bras.

-Au revoir ma nièce préféré,renchérit-il.

-N'oubli pas de m'écrire!ajoutais-je.

-Comment le pourrais-je?! Fit-il en saisissant sa valise prêt à transplaner.

-Gabrielle, commença-t-il mais elle l'interrompit aussitôt.

-Je sais, je prendrais soin de moi, et de ta nièce par la même occasion, rit-elle.

Je fis la moue.

-Adieu mes trésors, lança-t-il avant de disparaître dans un pop sonore.


 

Je soupirais et fis la moue.

-Il aurait pu nous déposer,dis-je.

-Pourquoi? Je sais très bien transplaner...

-Bennn......

Je laissait ma phrase en suspend, l'air sceptique. Ma mère rit.

-Sale gosse!dit-elle, puis devint plus sérieuse. Alicia, viens par là s'il te plaît, me dit-elle.


 

Elle me fis venir jusqu'à la cheminée du salon et ouvrit une drôle de petite boite que je n'avais jamais remarquée. Elle en sortit un pendentif où au bout pendant une...clé. Une clé?

Ma mère me regarda, sérieuse et déterminée.


 

-Ma chérie, je sais que tu ne comprends pas ce que ça signifie mais je tiens à te donner ceci,fit-elle en mettant dans ma paume ouverte le pendentif qui laissait pendre une petite clé argentée. Elle était si petite que je me demandais quelle sorte de porte elle pourrait bien ouvrir, mais ma mère ne me laissa pas le temps de me poser des questions. Elle me fit assoire sur le canapé, et vint à mes côtés.


 

-Cela fait déjà quelques jours que j'hésite à te la donner. J'ai bien vu et compris que maintenant tu as grandit, et que beaucoup de chose vont changé alors je tenait à te donner cette clé. Elle représente énormément de chose, et...je pensais qu'elle devait te revenir; j'espère que tu sauras la garder précieusement avec toi, quoi qu'il arrive. C'est ton père qui me l'avait offert, pour notre mariage, mais quand il est partit j'ai décidé de la rageais précieusement, je me doutais qu'elle servirais à quelque chose un jour.


 

-Je ne suis pas sur de comprendre pourquoi tu me la donnes,dis-je lentement.

-Elle te serviras, crois-moi, dit-elle. C'est une sorte de gri-gri, un porte bonheur si tu préfère. Elle te protègeras du mauvais sort, et t'aideras à...


 

La sonnerie de la pendule l'interrompit. Il était 18h00, déjà l'heure de partir. Elle se leva, sans finir sa phrase.


 

-Gardes là autour du cou, surtout ne l'enlève pas. Et ne la montres à personne. Tu as compris?

J'aquiesçais faiblement. Qu'est-ce que tout cela voulait dire? A quoi bon une minuscule petite clé allait bien pouvoir me servir?!


 

Alors que j'aggripais le bras de ma mère, nos valises avec nous, elle nous fit transplaner...et nous voilà partit pour Londres!


 


 


 


 


 


 


 

19h00. Propriété des VanDorft.


 


 

Sous la pluie battante, alors que l'orrage grondait, moi et ma mère traversions le petit pont qui passait au dessus de la rivière sombre et brumeuse qui parcourait tout le côté du grand chemin qui nous faisait face. Un arbre nous accueillis à l'autre bout du pont. Grand, aux feuilles sèches et mortes, il était penché vers la rivière. L'endroit était sinistre, presque funeste et le brouillard qui nous envellopait se rajoutait à l'ambiance de la propriété. Une ribanbelle de mots me venait à l'esprit pour décrire cette endroit: sinistre, lugubre, brumeux, inquiétant, terne...

J'avais l'impression de me trouvait dans un cimetière, avec ce sentiment atroce qui vous tenallait les entrailles, comme si l'envi plus forte que vous de partir, en criant l'horreur que vous éprouviez, était incontrôlable. Ce silence, cette atmosphère faisait remonter en moi une bile horrible.

J'avais envi de prendre ma mère par la main et de transplaner jusqu'à notre nid à la campagne, retrouver cette plénitude face aux étendues de verdures aux milles et unes couleurs. Hélas, ce n'était pas ainsi et je compris même avec la détermination que ma mère affichait, qu'elle était suprise que Frank habite un lieux pareil.


 

Nous remontions le chemin en silence. De chacun de nos côtés la rivière bougeait lentement, et les eaux sombres et brumeuses qui nous entourait semblait garder un noir secret. Etre à l'aise dans un tel endroit me semblait impossible. Au fur et à mesure que nous avançions, un grand manoir se dessinait au loin. On aurait dit un château, avec de grandes toures aux toits pointant vers le ciel orrageux, et les pierres qui constituaient les murs semblait datées de plusieurs siècles. Des plantes montaient sur la façade, sèches elles semblaient mortes, de même que celles sur lesquelles nous marchions ma mère et moi, les faisant craquées sous nos pieds.


 

-Tu vas voir, c'est un homme fantastique,me dit ma mère alors que nous passions le petit portail de fer forgé, qui menait au devant du lugubre manoir.


 

Je ne répondis pas, trop absorbée par le grincement du portail quand je le refermais. Ma mère monta les marches jusqu'au perron, et j'entendis la porte s'ouvrir...

Je montais moi aussi les marches, et me mis derrière ma mère alors qu'un petit elfe rondouillard, à l'air maussade nous fis signe d'entrer. Bien que tout soit silencieux, mes oreilles ne supporter pas cette ambiance et un bourdonnement emplit mon crâne. Tout ici me rendait malade.

Le hall était gigantesque. S'était une grande pièce ovale, et de grands piliers gris et ternes montaient jusqu'au plafond de verre qui laissait entrer la lumière. Il n'était pas tard, mais cet endroit ne laissait entrer qu'une faible luminosité, qui provenait en grande partit de la lune qui venait à peine d'apparaître dans le ciel orrageux. Il y avait très peu de meubles, juste deux grands buffets en bois vernis sur lesquellques reposaient des chadelliers en or massifs. Mes yeux se posèrent instantannément sur l'énorme escaliers qui se trouvait à quelques mètres de nous, montant vers deux côtés différent qui devait surement être l'aile ouest et l'aile est du manoir. L'elfe se plaça devant nous.


 

-Bienvenu au manoir des VanDorft, fit-il sans aucune joie, ses yeux globuleux et vitreux nous fixant. Mon maître auras quelques minutes de retard, mais vous demande de bien vouoir patienté dans le salon. Si vous voulez bien me suivre...


 

Il nous tourna le dos, et nous fis avancer jusqu'à une porte verte et épaisse. Le petit salon était majoritairement décoré de fauteuils, rideaux et tapis verts émeraudes, et les pieds de la table basse en bois étaient sculpté en forme de serpents. Serpentard, la maison de la plupart des sangs-purs à Poudlard. Je n'y avais jamais mis les pieds, mais tout le monde savais que ceux qui attérissés dans cette maison ne tournait généralement pas bien. L'elfe nous fis attendre ici, et nous proposa du thé. Ma mère en pris volontié, mais moi je refusais poliment n'étant pas dans mon assiette.


 

-Tout va bien Alicia?s'enquit ma mère alors que nous étions assises sur le petit divan. Tu est pâle.

-Ne t'en fait pas, c'est juste de la fatigue,dis-je. Rien qu'inquiétant.

-Oui mais tout de même,dit-elle en passant sa main sur mon front brûlant. Tu a de la fièvre, je vais demander à ce que l'elfe t'apporte une petite tisane, ou un remède. Peut être a-tu attraper mal hier sous la pluie?


 

Je n'eus même pas le temps de répondre que la porte s'ouvrit en grand. Il était là, dans l'encadrement, et je compris aussitôt ce que ma mère lui trouvait. Il était certes bel homme, mais la froideur et l'aura effrayante qu'il dégageait me firent me méfié. Il avait de grands yeux marrons, avec une touche de jaune autour de la pupille et ses cheveux noirs étaient en désordres sur son crâne. Grand, plutôt bien batit, il aurait surement fait peur à n'importe qui, mais apparemment pas à ma mère qui se jeta dans ses bras. Il n'échangèrent pas de baiser, surement à cause de ma présence et je les en remercier. J'avas déjà de la fièvre, je ne voulais pas en plus me mettre à vomir.


 

-Frank!s'était écrié ma mère. Comme je suis heureuse de te voir.

-Moi aussi, dit-il solenellement de sa voix grave et suave, mais tranchante.


 

Puis, il releva son visage vers moi, qui mettait levait à sa brusque arrivée. Nous nous jaugeâmes, et bien que je voulais faire plaisir à ma mère, je ne trouvait chez lui aucun points que je pourrais apprécier. Il fronça les sourcils, apparemment il devait s'attendre à ce que je cris en me jetant dans ses bras moi aussi. Il allait être fort déçut...


 

-Frank, voici Alicia ma fille, Alicia voici Frank,dit ma mère rompant le silence tendu.

-Enchanté de te connaître enfin Alicia, dit-il en me tendant la main.


 

S'attendait-il à ce que je la serre? Je fixais ses prunelles brunes un instant, puis regardais sa main en esquissant une grimace de dégout. Je tendis ma main vers la sienne, et la serrer rapidement. Bien que je voulus la retirer il ne la lâcha pas, et la serra fort dans la sienne, me faisant mal aux articulations. Il plongea ses yeux dans les miens, comme pour me faire passer un message. Je fronçais les sourcils, et lui lancer un regard noir. Il me lâcha.


 

-Je crois que nous allons bien nous entendre Alicia, ta mère m'as beaucoup parlé de toi, et de ton caractère bien trempé,dit-il en enlaçant ma mère.

Cependant je dois te prévenir qu'ici il y a certaines règles à respecter...

-Oh!Frank, ne t'en fait pas, Alicia est adorable, elle seras sage, dit aussitôt ma mère.

-Je l'espère, souffla-t-il en me fixant une fois de plus.


 

Ses yeux, son hatitude, sa poigne, tout en lui me criait une évidence que je ne pouvait interprêter, décripté. La seule chose dont j'étais certaine le concernant, s'était qu'il était bien loin de l'homme fantastique que ma mère m'avait décrit. Il ne m'inspirais que du dégoût, et sa demeure autant que lui me donnait une profonde envi de vomir. Tout ici était mauvais, sale, atroce et les murs du manoir semblait criait un secret inavouable, comme un murmure à peine audible, qui bourdonnait dans mes oreilles comme un cri strident insupportable à entendre.

Etre ici allait être pour moi une vraie épreuve...

 

 

Chapitre 4.Le manoir des VanDorft.

Publié le 05/11/2009 à 18:14 par splendora-story
Chapitre 4.Le manoir des VanDorft.

 

Chapitre 4.

Le Manoir des VanDorft.

 

 

 


 

La lueure des bougies, posaient sur des chadelliers en or massifs, se reflétait sur le bois sombre de la grande table. Le dîner avait commencé depuis une demi-heure, et jamais je n'étais resté autant de temps assise à une table, sauf peu être en cours, et je puis dire que cela était tout aussi ennuyeux. La culture de Frank semblait intarrissable, et il nous étalait depuis le début du repas toutes ses actions aux ministère. Il ne cessait de nous décrire les compliments que le Ministre lui disait. Ma mère riait aux éclats, pendant que Frank abordait des anecdotes comiques du travail.

Je soupirais doucement, regardait par l'unes des grandes fenêtres, et observait la lune ronde et lumineuse. Quand ce repas se terminerait-il?

Alors que je m'interrogeais sur le temps restant avant la fin du dîner, Frank se tourna vers moi.

-Alors Alicia, comment vont les études?demanda-t-il.

-C'est les vacances,dis-je sans lui accordait le moindre interêt, enfournant dans ma bouche le dernier raviolis qui restait dans mon assiette.

Son sourire se fana quelque peu, mais il ne se démonta pas. Ma mère était tendu et me lançais des regards appuyés, me suppliant d'être aimable.

-Dans quel école est-tu?poursuivit-il.

-Alicia est à une école récemment ouverte tout près de chez nous, s'était plus pratique,dit ma mère.

Frank fronça les sourcils, étonné.

-Elle n'est donc pas à Poudlard?fit-il.

-Non, répondis ma mère. Mais elle veux absolument y aller depuis que sa meilleure amie Maïly va y entrer au mois de septembre.

-Oui, elle sa mère ne l'en empêches pas!soufflais-je.

Ma mère fis la moue.

-C'est loin de chez nous chérie, et puis je me lasserais d'être seule à la maison, dit-elle.

-Tu ne te rends donc pas compte que cet argument et plus qu'égoiste?!répliquais-je.

-Doucement mesdames!intervint Frank. Je pense que je peux régler vos problèmes. Pour ce qui est de la distance, c'est simple: vous n'avez cas venir habiter ici. Le manoir est grand nous ne nous marcherons pas sur les pieds, et puis Gabrielle tu ne seras pas seule, je serais là, pas à tout heure de la journée bien sur , j'ai beaucoup de travail mais...

-Merci, mais non, dis-je fermement.

Les deux adultes me regardèrent surpris.

-Alicia c'est toi qui voulait aller à...commença ma mère.

-Je sais!fis-je sèchement. Mais je ne veux pas partir de chez nous!

-Pourtant tu n'étais pas contre que nous emménagions à Londres il y a quelques jours, poursuivit-elle.

Mince! Elle ne voyait donc pas que je ne voulais surtout pas habiter ici?!

-J'ai changé d'avis depuis!

-Mais enfin...

-Gabrielle, laisse à Alicia un peu de temps pour réfléchir et prendre la bonne décision,fit Frank repoussant son assiette.

Je fronçais les sourcil. Il voulait surtout avoir le temps de la convaincre de ne pas me laisser le choix! Quel sale...!


 


 


 


 

Le dîner venait de se finir, Frank nous accompagner dans l'aile Est du manoir, nous ammenant à nos chambres que j'espérer temporaires, je ne me voyait pas habiter ici, dans cette demeure infâme. Nous venions à peine de monter l'escaliers de marbre immense, et nous tournions vers l'aile Est, traversant les couloirs tous plus sinistres les uns que les autres. Sur les murs, une vieil tapisserie aux couleurs sombres semblait moisir depuis des siècles. Des tableaux de toutes tailles étaient accorchés aux murs qui m'entouraient, s'était tous des tableaux de personnes mortes, des ancètres de la famille surement. Ils nous regardaient passé d'un drôle d'air et j'en vu certains faire quelques rires narquois. Je remarquais tout de même qu'ils avaient tous, Frank y compris, ce petit air suffisant et dédaigneux collé sur le visage, un héritage apparemment...


 

Après avoir marcher pendant un quart d'heure dans de multiples corridors, Frank nous fit arrêter dans un grand couloir large, aux bouts infinissables. Il s'était mis devant une porte aux bois noir et brillant.

-C'est ta chambre Gabrielle, dit-il d'un petit air gêné si mal joué que je me retins de rire; cela ne prenait pas avec moi. Je pensais que tu préfèrerais dormir seule vu les circonstances.

Ma mère lui sourit tendrement. Je bouillonais, comment pouvait-elle croire tout ce que lui disais cet homme, ce monstre?!

-C'est une délicate attention, merci, dit-elle.

Délicate attention?! Hein?Mais dans quel monde vivons-nous?!


 


 

….....................................


 


 


 


 

Lundi 19 Août.


 

Mardi 20 Août.( il est plus de minuit).


 


 


 

Je n'ais passé que quelques heures dans ce manoir et déjà je voudrais m'en aller pour ne plus jamais revenir. Rien avoir avec la peur, mais c'est plutôt ce sentiment oppressant que je ne sortirais plus jamais d'ici, que les murs sombres du manoir vont m'engloutir et cette impression me fait suffoquer. J'halète en pensant que peut être nous viendrons vivre ici, moi et ma mère, et que par le fait même d'habiter ensemble Frank et ma mère se rapproches d'avantage. Le fait qu'ils soient en couple me dérange assez comme ça, mais si en plus ils devaient se marier ou avoir des enfants...je n'ose imaginer comment cela se passerait.

Ma chambre est loin de ressembler à celle que j'ai à la maison. Celle-ci est froide et moche, je détestes cette couleur grenat sur les murs humides, je déteste les couvertures rouges du lit, et les rideauxs aux fines et étranges brodures dorées; mais ce que je hais par dessus tout est cet homme qui a le pouvoir de faire changer d'avis ma mère, elle qui m'avait promis que nous rentrions très vite. Je hais cette façon horriblement médiocre qu'à Frank de mentir, de ce tenir comme s'il était quelqu'un de bien, comme si...il n'était pas un monstre. Car, oui, il en était un. Je l'avais vu au premier regard, j'avais déceler dans ses yeux la fourberie, la cruauté et la malfaisance , alors que les autres ne voyait que de simples pupilles brunes.


 

Un bruit me fit poser ma plume. Allongeais sur le lit à l'édredon rouge, je redressais la tête, et tendit l'oreille. S'était un petit bruit, une sorte de déplacement, quelque chose qu'on soulevais pour poser et reposer, il y avait comme du chiffonnement de papier, qu'on jetais ensuite en le roulant en boule et en le lançant dans la poubelle. Je me levais du lit, fit quelques pas vers la porte de la chambre, et l'ouvrit, mais aussitôt le bruit que j'avais entendu se tût, et je n'entendis que le grincement de ma porte. Le couloir était désert, seul une faible lumière sortait de la chambre de ma mère, à quelques pas de la mienne. Je décidais d'aller voir.

Enroulé dans une couverture chaude, mon oreiller bleu apportait tout droit de chez moi sous le bras, je sortais de ma chambre et allais toquer à celle de ma mère. Je n'attendis pas qu'elle me dise d'entrer, et je la trouvais allonger sur son lit, un livre entre les mains, sa lampe de chever l'éclairant d'une lumière orangée qui se reflétait sur les murs.

-Bonsoir, dis-je à haute voix.

-Chut ,me dit-elle. Frank travail dans son bureau à côté.

-Vraiment?! crais-je exprès, en souriant.

Elle me regarda sévèrement.

-Sale gosse, souffla-t-elle tout sourires.

-Je peux venir t'embêter quelques minutes?demandais-je.

-Mais tu ne fait que m'embêter ma chérie, je ne vois pas pourquoi tu demandes la permission ce soir,plaisanta-t-elle.

-C'est vrai, je ne vois pas non plus pourquoi je m'obstines à avoir la permission.

Je grimpais sur le lit à ses côtés, et posé ma tête sur son épaule.

-Où crois-tu que John est en ce moment?murmurais-je.

-Il devait partir pour l'Inde je crois, et ensuite il passe le reste de l'année en Italie.

-Il passeras toute l'année en Italie?m'étonnais-je que mon oncle reste dans un pays aussi longtemps.

-Oui, il a appremment des choses importantes à faire là bas.

Je me redressais et la scrutait.

-Que fait John en réalité?

Elle soupira.

-Nous avons déjà eut cette conversation mon ange, dit ma mère. John ne tiens pas à nous mêler de sa vie, et c'est mieux ainsi.

-Si tu dis ça, c'est que tu est forcément au courant.

-Non.

-Alors comment sait-tu que c'est mieux pour nous de ne rien savoir?demandais-je à brûle pourquoi.

-Je le sais,c'est tout,souffla-t-elle.

-Ce n'est ce que j'appelle une réponse.

-Et pourtant tu devras tant contenter,dit-elle, reposant ses yeux sur les fines lignes du livre.

Je soupirais, et me calais contre elle.

-On rentre quand?

-Après-demain normalement,dit-elle. Mais j'ai bien envi d'accepter la proposition de Frank.

Je me tournais vers elle, les yeux exorbitais.

-Quoi? N'était-ce pas gentil de nous proposer d'habiter sous son toît?!s'exclama-t-elle doucement.

Je trouve sa démarche courageuse, vu l'accueil que tu lui a réservé.

-J'ai étais plus que sympthique,répliquais-je.

-Tu aurais pu faire mieux tout de même.

-Non, je ne crois pas,rétorquais-je.

Nous nous regardâmes.

-Tu ne l'aimes pas, n'est-ce pas?demanda-t-elle.

-Oh, tu crois?dis-je sarcastique.

Elle soupira, agacée.

-Pourquoi faut-il toujours que tu compliques tout?! Tu m'avais pourtant assurer que le fait que je soit avec un homme ne te déranger pas!

-Oui, et c'est vrai. C'est le fait que tu soit avec lui, qui me dégoutes! Non, mais regardes où il habite, regardes les tableaux dans les couloirs, les tables en forme de serpents, et lui, regardes-le lui, pas comme tu aimes pensé qu'il est, mais comme il se trouves vraiment! Il est...

-Non, s'il te plait arrêtes!se fâcha-t-elle. Tu ne l'aimes pas, mais moi oui. Et puis tu ne le connais pas, tu vien sà peine de le rencontrer, alors s'il te plait, fait un effort!Pour moi.

Je soufflais bruyamment.

-Très bien, je serais la plus aimable possible,dis-je. Mais réponds au moins à une seule question.

-Je t'écoutes.

Je pris une profonde inspiration.

-Tu l'aimes autant que tu aimé papa?Ou c'est seulement une relation éphémère, qui va passer...vite si possible, rajoutais-je sous les yeux réprobatteurs de ma mère, mi-amusé mi-en colère.

-Alicia...écoutes,je...ton père et moi s'était...différent, avec Frank ce n'est pas pareil, il est...comment dire...

-...horrible?proposais-je.

-Non, il est le total opposé de ton père.

-Et c'est cela que tu cherches, son opposé? Il n'y avait donc rien que tu aimais chez mon père?

Elle me regarda tristement.

-Ton père restes mon unique amour, Alicia. Frank ne seras jamais comme lui, il ne prendras jamais autant de place que lui dans mon coeur, mais...je me sens en sécurité avec Frank. Je sais qu'il ne m'abandonneras pas,lui.

-Tu ne réponds pas à ma question,dis-je. Je veus savoir comme il était?Est-ce qu'il était content d'avoir un enfant tout de même?

-Oh, Alicia. Evidement, qu'il était content, il a toujours été attentionné, doux,gentil...très farceur et joyeux, mais très irresponsable. Il ne prends pas compte des risques, quand il veux quelque chose, il l'obtiens toujours. Je l'aimais plus que ma propre vie, et quand il est partit j'ai du m'occuper de toi toute seule, et j'espère y être arrivé convenablement.

J'aquiesçais, pour moi il était clair qu'elle était la meilleure mère du monde, même avec son étrange attitude en présence de Frank. S'était comme si à ses côtés, elle devenait une autre personne....

Une question me hantais tout de même.

-Maman, pourquoi il est partit? Je sais qu'il voulait un garçon, et que c'est en partit pour ça qu'il c'est enfuit, mais je...ça ne peut pas être la seule raison, non?

«-Non, disons que ton père et ses amis, faisait partit d'un groupe de personne qui luttait pendant la guerre, et qu'il partait souvent pour des missions dangereuses. Nous nous étions souvent disputaient à ce propos, je ne voulais pas qu'il partes pour se mettre en danger,et il ne supporter pas que je soit impliquait même indirectement dans ces histoires, dit-elle, puis fit une petite pause avant de reprendre les yeux dans le vague. Quand je lui est annonçais que j'étais enceinte, il à tout d'abord été surpris, puis heureux, mais il était quasiment tout le temps sur les nerfs, il semblait angoissait et soucieux. Il ne m'a jamais dit pourquoi, et ce n'est pas faute d'avoir essayer de lui faire avouer, mais je pense qu'il était plus qu'inquiet de ton arrivé, après je n'en sais pas plus. Ce ne sont que des suppositions mais je crois qu'il paniquais de ne pas être un bon père, de ne pas être à la hauteur et de nous décevoir...Résultat, quant nous avons su que tu étais une fille, il est partit...»


 

Je fronçais les sourcils. Moi qui croyait qu'il avait attendu au moins ma naissance pour partir, en réalité il s'était enfuit en se rendant compte que je ne serais pas son héritier mais plutôt son héritière. Une fille ne devait pas être mieux qu'un garçon pour lui...Ne valais-je pas plus à ses yeux? Pourquoi cet homme m'avait rejeté avant même de me connaître? Ne valais-je pas la peine de rester un peu plus? Pour quelles raisons ne voulait-il pas de moi?

C'est questions submergeait mon être, et il me semblait inconcevable de vivre sans les réponses. Comment faire pour savoir?...


 


 

Blottis contre ma mère, je m'assoupit et m'envola silencieusement vers le pays des rêves...

 

 

Chapitre 5 L'aile Ouest.

Publié le 23/11/2009 à 18:38 par splendora-story
Chapitre 5 L'aile Ouest.

 

Coucou! Me revoilà avec un nouveau chapitre. Désolé pour le retard.

Bisous à tous.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chapitre 5.

L'aile Ouest.

 

 

 

 

 

 

Mardi 20 Août.


 


 


 

Quelle nuit! Je n'avais jamais aussi mal dormit! Est-ce le fait d'être dans ce manoir? J'ai passé presque toute la nuit à rêvé de choses effrayantes, et je n'ait pas arrêter de refaire ce rêve étrange de l'autre fois, celui avec le chien noir, ( oui, je me suis décidé à ce que se soit un chien).

Je me demande quel est le rapport avec les évènements de ces temps-ci! Je ne suis pourtant pas effrayé par les chiens, j'adore les animaux!

Non, je crois maintenant que le problème viens d'autre pars. Mais je laisse cela pour plus tard, aujourd'hui promet d'être une journée chargée.


 

Ma mère et moi devons allez à Poudlard pour mon inscription. J'ai hâte de voir enfin ce magnifique château si célèbre, et ces milles et uns couloirs. Il paraît même que les escaliers font des folies là bas! Je suis si impatiente! Mais ce n'est pas le principal de la journée, je me focalise plus sur le départ de Frank cette après-midi. Il s'en vas vers 12h30, et reviens tard dans la soirée. J'aurais donc tout le temps d'inspecter ces couloirs et la partie Ouest que je n'ai pas vu. Ma mère à prévu d'aller sur le chemin de traverse pour mes fournitures, si bien sur Poudlard veut bien de moi! Mais elle m'a dit de ne pas me faire de soucis, qu'il m'accueillerons à bras ouverts!


 


 

Je laissais ma plume en suspend. J'aurais surement des choses plus importantes à raconter après ma balade dans le manoir et mon retour de Poudlard. Je fermais donc mon journal et le mit dans sa nouvelle cachette. Je lui en avait trouver une meilleure que celle de chez moi, je me méfier de Frank et de son elfe aux yeux globuleux. Je coinçais mon journal dans une fente du mur, entre mon armoire et le bureau. S'était pratique et la fente ne se voyait pas, cachée derrière la grande lampe du bureau.

La matinée commençait plutôt bien, à part que j'étais coincé dans ce maudit manoir, avec ce maudit Frank! Ma mère devait surement déjà être en bas avec lui, à prendre le petit-déjeuner. Moi, je n'avais absolument pas faim. Cette horrible nuit m'avait secouer l'estomac où une boule de nœuds s'y étaient formée. Je descendis tout de même dans le hall, que la lumière du jour faisait baigné dans une clarté aveuglante. Pour une fois depuis mon arrivée, je trouvais le hall accueillant et lumineux.


 

Doucement, j'ouvris la porte de la salle à manger, où nous avions dîner la veille. Frank nous avez aussi montrer la cuisine, où plusieurs elfes travailler et aussi un petit salon à l'épaisse tapisserie verte qui communiquait avec la salle à manger. En entrant, je fus accueillit par le sourire de ma mère, assise à la grande table, seule. Voilà un bon point pour moi, je n'aurais pas à supporter l'amabilité sur jouée de Frank.


 

-Bien dormit mon ange?me demanda-t-elle.

-Pas vraiment, grognais-je en m'asseyant en face d'elle, devant une assiette où une multitude de toasts grillés étaient entassés.

-Pas étonnant, tu n'as pas arrêté de gigotait dans tous les sens en murmurant des choses incompréhensibles, rit-elle. Ce n'est pas grave, tu te rattraperas cette après-midi. Tu pourras te reposer.

-Oui, peut être,dis-je en engloutissant des toasts. A quelle heure nous partons pour Poudlard?

-Vers 10h00,soupira-t-elle en fronçant les sourcils. Tu sais, Alicia, je suis d'accord pour que tu aille à Poudlard, alors à toi de faire un effort et d'accepter la proposition de Frank.

-C'est du chantage!m'écriais-je.

-Non. Sa s'appelle un compromis, dit-elle en me servant du jus de citrouille.

Je soupirais. Réfléchis un instant, puis lui sourit doucement.

-Très bien, je veux bien vivre ici, mais avec quelques conditions. Premièrement, je ne veux pas qu'on vende notre maison; deuxièmement je veux pouvoir sortir d'ici quand j'en ait envi, et troisièmement...Frank n'as pas le droit d'intervenir dans mon éducation.

Elle me regarda, étonnée.

-Je suis sur qu'il n'avait pas l'intention de le faire, dit-elle.

Je la regardais, sceptique.

-Tu apprendras à le connaître et à l'apprécier,poursuivit-elle. Pour ce qui est de tes conditions, je les trouvent raisonnables, et je n'avais de toute façon pas l'intention de vendre notre petit chez nous, ma chérie.

-Parfait, alors on est d'accord.

-Oh! Au fait, tu as reçut une lettre de Maïly,fit ma mère en me tendant une enveloppe couleur crème.

-Géniale!m'écriais-je en me levant.

Je sortie de la pièce, pour rejoindre précipitamment ma chambre. J'eus juste le temps d'entendre ma mère s'écriait: «Tu ne finit pas ton petit-déjeuner?!». Mais j'avais des choses plus importantes à faire, j'avais absolument besoin d'avoir des nouvelles de Maïly, et de tout lui raconter.

Arrivée dans ma chambre, je m'assit derrière mon bureau et ouvrit la lettre.


 


 


 

Alicia,


 


 

Ma mère m'a appris que tu allé t'inscrire aujourd'hui à Poudlard! C'est super, tu n'imagine pas quel point je suis hystérique à l'idée d'être là bas avec toi! On vas mettre le feu à cette école trop tranquille à mon goût! J'ai hâte d'y être!

Il faudrait d'ailleurs que ta mère et la mienne se parlent pour fixer un jour et aller sur le chemin de traverse ensemble, acheter nos fournitures!

Ce seras une journée super!


 

Passons aux choses moins joyeuses maintenant...genre Frank.


 

Comment est-il? Ma mère m'a dit que son manoir était immense, et qu'il était très riche mais je n'en sais pas plus, alors j'attends de toi un résumé complet et détaillé de se qui c'est passer! Vas-tu rester là bas avec ta mère? Frank te plait ou pas? Il est gentil? Aimable? Ou est-ce un horrible type?

Réponds-moi vite s'il te plait, je meurs d'impatience de savoir!!


 

Je t'embrasse fort ma sœur de cœur!


 

Maïly.


 

P.S: J'ai ton éclair de feu, il est génial. Il faudrait que je te le rendes!Bisous.


 

Je souris, avoir des nouvelles de ma meilleures amie, de ma sœur, me faisait du bien. J'allais enfin pouvoir tout lui dire, elle avait exigé un résumé détaillé, et bien elle allait en avoir un.


 


 

Maïly,


 

C'est bon d'avoir enfin de tes nouvelles! Ne t'inquiètes pas de mon éclair de feu, je le sais en parfaite sécurité avec toi, et je ne pense pas que tu soit si pressé de me le rendre! Je parlerais à ma mère de la journée fournitures, c'est promis. Pour ce qui est de Frank, ta mère à raison il est plus que riche et son manoir est immense, mais atroce. On se croirait dans un château hanté, comme dans les films d'horreurs moldus que tu me décris souvent.

Qui plus est l'elfe de Frank ne me dit rien qui vaille, et lui non plus!


 

J'ai l'impression qu'il embobine bien ma mère, avec ces airs de gentleman, et son amabilité forcée envers moi. Je sais qu'il est mauvais, cela se voit, en tout cas pour moi. Il n'est pas quelqu'un de bien, et je comprend pourquoi John le détestes! Mais écoutes-bien ça, je suis certaine qu'il était à Serpentard, quand il était à l'école. Son manoir regorge de table en forme de serpents, et tout est presque vert,sauf ma chambre qui est d'un rouge grenat horrible. Je détestes ce manoir, je détestes cette elfe, et je hais par dessus tout Frank! Mais je ne me fait pas d'idées, lui aussi me hais, je l'ait bien vu dans son regard.


 

Bref, écris-moi vite pour me donner tes bons conseils!

Que dois-je faire? M'opposer à leur relation, même si je n'en est pas le droit?

Rendre la vie de Frank impossible?


 

Enfin, passons à des choses plus joyeuses.

Moi, aussi j'ai hâte d'aller à Poudlard!

Au fait, quand est-tu allé t'inscrire?Est-ce que tu est déjà répartit dans une maison?

Si c'est le cas, je pris pour qu'on soit dans la même et de préférence pas à Serpentard!

Ma mère me dit que j'irais surement à Gryffondor, prions pour ça!


 

Je t'embrasse aussi très fort ma sœur!


 

Alicia.


 


 


 

Je pliais la lettre et la mit dans une enveloppe. Puis, je me dirigeais vers la cage d'Anatol, l'hiboux de ma mère, et lui remit la lettre, pour qu'il l'envoies à meilleure amie. Je me demandais dans qu'elle maison j'allais être, et si le professeur Dumbledore allait me répartir dans une maison dans son bureau, où à la rentrée, devant tout le monde. Être le centre d'intérêt de tous me gênais légèrement, mais je me dis que je n'allais pas être seule dans se cas, Maïly serait avec moi.

Je restais quelques instants à regarder Anatol s'envoler dans le ciel bleu azur de cette belle journée, et assise sur le rebord de la fenêtre de ma chambre, je soupirais. Il n'était que 9h30, et il restais encore une demi-heure avant le départ pour Poudlard. J'avais si hâte d'être inscrite!

Je fixais le vague, et me surprit à observait pendant un instant les alentours. Le domaine autour du manoir était gigantesque. Je voyais d'ici de grandes étendues d'arbres aux épais feuillages. Puis, comme je l'avais vu en arrivant ici, une rivière coulait sur le côté droit du domaine. A part cela, ce n'était que terre boueuse et herbe sèche. Rien de très beau. Frank avait pourtant beaucoup d'argent, et il n'a même pas jugé bon de se faire un magnifique jardin. A moins qu'il ne le trouve déjà fantastique comme cela, avec les goûts qu'il a ça ne m'étonnerais pas vraiment.

Alors que je regardais toujours les alentours, un pop sonore me fit sursauter. Une personne aux visage caché par une volumineuse capuche noir venait de transplaner dans le jardin, juste devant le petit portail, donnant l'accès au perron. Il allait surement voir Frank. J'avais un mauvais pressentiment, et je ne voulais pas que ma mère aille ouvrir à cet inconnu.

Je sortie à toute vitesse de ma chambre, traverser les différentes couloirs et doucement j'approchais des escaliers du hall d'entrée. Je vis l'elfe ouvrir la porte et fus soulagé. Appuyé contre le grand pilier qui se trouvait en haut des escaliers, je restais dans l'ombre et attendit de voir le visage de cet invité.


 

-...mon maître va vous recevoir monsieur, je vous pris de me suivre,disait l'elfe.

L'inconnu avait baissé sa capuche sur ses épaules, et je voyais maintenant ses longs et brillants cheveux blonds platines, ainsi que son visage cireux et pâle. Il avait un regard dur, comme de la glace et son torse bombé ainsi que son menton relevait lui donnait un air suffisant et dédaigneux. Il regarda dégoûté l'elfe et le suivit vers l'escalier.

Peut être allait-il dans l'aile Ouest? Je me cachais derrière le pilier et attendit qu'ils passent tous les deux. L'homme ne me vit pas, mais il se retourna tout de même comme pour voir s'il n'était pas suivit. Je trouvais cela de plus en plus louche.


 


 


 


 

…................................


 

10h05. Poudlard.


 


 

Un grand portail de fer se dressait devant nous, les pointes des barreaux aussi aiguisées que les dents d'un loup. Nous n'avions pas attendu longtemps avant d'apercevoir un homme d'un certain âge approché de la grille, un air bougon et des mèches de cheveux épars sur son crâne légèrement dégarni. Il avait l'air fort aimable!

-Vous êtes?dit-il.

-Mlle Montez, dit ma mère. Nous avons rendez-vous avec le professeur Dumbledore.

L'homme grogna, et ouvrit le portail. Nous entrâmes et il nous conduisit jusqu'à l'entrée de l'école. Le château était immense, comme dans les livres, et j'aperçus même le grand parc, derrière, où un magnifique terrain de quidditch s'étendait. J'avais hâte de pouvoir jouer sur un balais. Voler était mon activité préféré, en dehors des nombreuses farces que je faisais dans mon ancienne école. Étrangement, cela me rendit un peu nostalgique de quitter l'école de sorcellerie où j'avais passé trois ans, mais l'euphorie d'entrer à Poudlard surmonter ce sentiment.

L'homme nous fit avancer jusque dans le grand hall, où des torches accrochées aux murs rendaient l'endroit chaleureux et accueillant. J'avais déjà l'impression d'être chez moi, en sécurité.

-La directrice adjointe va vous recevoir avant, pour l'inscription et elle vous conduiras au bureau du professeur Dumbledore, grogna l'homme, que je soupçonner d'être le concierge, en nous laissa devant une porte de bois sombre aux gravures magnifiques. Ma mère frappa trois petits coups, et la porte s'ouvrit d'elle-même. Je restais derrière ma mère pendant qu'elle entrée.

-Mlle Montez!s'écria une voix au bout de la pièce.

En effet, la directrice adjointe était assise derrière un grand bureau, ses lunettes posées sur son long nez, ses cheveux tirés à l'arrière de sa tête en un chignon très strict.

-Mme McGonagall!dit ma mère à son tour. Comme je suis ravit de vous voir. Cela fait si longtemps!

La directrice se leva, un sourire fendait son visage.

-Oh!oui, il y a trop longtemps que vous avez été mon élève, dit-elle, puis se tournant vers moi, elle parut tout d'abord surprise et me détailla de la tête au pied. Ainsi, cette jeune demoiselle, est votre fille. Alicia, c'est ça?

-Oui, répondis-je.

J'avais l'impression d'être passé au détecteur de mensonges, avec son regard perçant et son air sévère.

-J'ai l'impression que Poudlard va retrouvez sa jeunesse cette année!dit-elle, plus pour elle-même que pour nous, mais je vis tout de même les yeux de ma mère se voiler quelques secondes.

Je froncer les sourcils. Qu'est-ce que cela voulait dire au juste?

-Bien, passons à la paperasse maintenant,poursuivit la directrice adjointe. Rien de bien méchant rassurez-vous, juste quelques signatures.

Ma mère s'approcha du bureau et signa les quelques papiers nécessaires à mon inscription. Elle discuta des raisons pour lesquelles je n'étais pas venu ici pour ma première année, et tout et tout...


 

La vérité c'est que j'ai un an de retard, enfin disons plutôt que j'ai un an d'avance, c'est comme vous voulez....

En réalité, ma mère ne m'as mise à l'école qu'à l'âge de 12 ans, pour je-ne-sais-quelle-raison, ce qui fait que j'ai 14 ans et que je passe en troisième année. Bizarre, non? Si, et qui plus est je ne croule pas sous les explications, car ma mère change de sujet et trouve toujours quelque chose à faire d'autre que me répondre. J'ai abandonné il y a bien longtemps de toute façon...


 

Après que ma mère est signé tout les papiers, et autres documents, nous nous dirigeâmes vers le bureau du directeur, et une fois passé par l'escalier tournant, nous nous retrouvâmes devant la grande porte de bois sombre. Ma mère toqua quelques coups, et la porte s'ouvrit tout seule, suivit d'un «Entrez mesdames» de la part du directeur.


 

Il était assis derrière son bureau de ministre, ses lunettes en demi-lunes posées sur son nez aquilin, et sa longue barbe blanche touchant le bord du bureau. Il se leva, ou grand sourire sur le visage.


 

-Gabrielle! Cela fait si longtemps!s'exclama-t-il.

-Trop longtemps professeur, dit-elle.

-Et pourtant, vous êtes toujours aussi belle!

Ma mère sourit, et le vieux directeur se tourna lentement vers moi. Il me fixait avec une étrange lueur dans les yeux, et quelque chose traversa ses prunelles bleus. Je ne su dire quoi. Il me détailla de la tête au pied, comme pour imprimer ma vision dans sa tête. Bizarre.

-Tu dois être Alicia,dit-il. Ta mère m'a beaucoup parler de toi, ainsi qu'une certaine Maïly, qui c'est inscrite il n'y a pas longtemps, si je ne me trompe?

-Oui professeur,dis-je. Maïly, est ma meilleure amie, ont été à la même école avant.

-Bien que que je suis très heureux d'accueillir deux nouvelles élèves dans mon établissement, pourrais-je savoir pourquoi vous avez quitté cette école?

-Nous déménagerons surement bientôt à Londres, et Alicia avait très envie de venir étudier ici,dit ma mère.

-Je vois, dit-il. Ma curiosité est satisfaite, maintenant je ne peux que te souhaitez la bienvenue.

-Merci,murmurais-je.

-Je suis sur que tu te plairas ici Alicia.


 


 


 


 

.o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o.


 


 


 

12h35.


 


 

Penchée à ma fenêtre, assise sur le rebord, je voyais Frank parlait avec l'elfe de maison qui, je venais de l'apprendre, s'appelle Tore. Une seconde après, Frank transplana. Aussitôt qu'il disparut, je me précipité hors de ma chambre mais je fus coupé dans mon élan par Tore qui se planta devant moi. J'essayais de le contourner, mais en vain il ne cèderais on dirait. Que me voulait-il?

-Tu pourrais pas te pousser s'il te plaît?lui demandais-je d'un ton calme.

-J'en suis le premier navré, mademoiselle, mais mon maître ma demandé de vous surveiller toute la journée,dit-il.

-Quoi?! Me surveiller?!

-Oui, mon maître n'aimerais pas que vous chambouliez tout son manoir, alors il ma chargé de me tenir près de vous.

-Et tu fait tout ce que te dit ton maître?demandais-je.

-Bien sur.

-C'est stupide,décrétais-je. Tu ne préfèrerais pas aller faire autre chose que de surveiller une gamine innocente?

-Innocente n'est pas le qualificatif que mon maître à employé.

Je haussais les sourcils, et croisais mes bras sur ma poitrine.

-Et quel qualificatif a-t-il employer?

-Il ne me permettrais pas de vous le dire,murmura l'elfe.

-Je suis sur que si.

Malheureusement, comme d'habitude avec ma chance légendaire, l'elfe ne parla pas et garda pour lui l'avis de son maître sur moi. De toute façon, je sais très bien ce que penser Frank, et je pouvais dire que s'était réciproque. Je le détestais, et il me détestais. Vise Versa.

Je passais le temps de l'absence de Frank a essayer d'éviter ce maudit elfe, mais il connaissait surement des passages secrets. Après tout s'était un grand manoir, il y avait surement beaucoup de choses que je n'avais pas encore découverte. Comme l'aile Ouest, que je devais normalement visité aujourd'hui! Mais avec cet elfe dans les pattes, je ne ferais rien!A moins que...


 

J'entrais dans la chambre de ma mère. Elle portait une longue robe bleu nuit, magnifique et ses longs cheveux blonds retombaient derrière son dos.

Elle était occupé à plier ses vêtements, soigneusement.


 

-Tu t'ennuies tellement, que tu préfère ranger?ricanais-je.

-Je ne m'ennuies pas,répondit-elle d'un ton un peu plus sec que la normale.

Je fus tout de suite déstabilisé.

-Tout va bien?lui demandais-je.

-Oui, bien sur, continua-t-elle sur un ton dure et froid. Tu ne devrais pas traîner comme ça dans le manoir. Il y a des choses de valeurs ici, tu risquerais de les casser! Frank n'apprécierais pas!

Je fronçais les sourcils. Qu'arrivait-il à ma mère si douce d'habitude? Elle n'était pas comme ça lors de notre visite à Poudlard.

-Arrêtes maman, je vois bien qu'il y a quelque chose qui ne va pas!Dis-moi,poursuivis-je en m'approchant d'elle.

-Tu n'a pas à me parler sur ce ton Alicia Amélia Montez!s'indigna-t-elle sous mes yeux surpris.

-Quoi?

-Les affaires des grandes personnes ne concernent pas les enfants. Va faire un tour dehors, que je soit un peu tranquille.


 

Elle retourna à ses affaires, et je quittais la chambre d'un pas lent. J'oubliais totalement le petit plan que j'avais manigancé pour aller dans l'aile Ouest, et je courrais à ma chambre. Ma mère n'était pas dans un état normal. Qu'est-ce que Frank lui avait fait? Et quand surtout? J'étais resté avec elle toute la journée..sauf au dîner! Oh, non. A tout les coups, il en avait profité pour glisser quelque chose dans son verre, ou pour lui jeter un sort.

Je fermais la porte derrière moi, et m'installais au bureau. Je pris du parchemin, une plume et de l'encre et rédigeais une lettre à la seule personne qui pouvait me venir en aide.


 


 

John,


 

J'espère vraiment que tu recevras cette lettre très vite, et que tu y répondras. C'est très important. Je ne sais pas si maman t'en a déjà parler dans une lettre, mais nous allons habiter chez Frank VanDorft. Je suis chez lui en ce moment, et je peux te dire que ce n'est pas le grand amour entre lui et moi. Je crois même qu'il me déteste, et moi je le hais. Il est odieux, et fait tout pour que maman le trouve fantastique.

Mais ce n'est à la limite pas le plus important pour l'instant. Le problème c'est que depuis quelques heures, maman ne se comporte pas comme d'habitude. Elle est devenue froide et dure avec moi. Je viens de lui parler, et elle était si distante et méchante.

Je suis sur que Frank est derrière tout ça. Ils ont déjeuner tous les deux et il a surement du lui faire boire quelque chose ou lui jeter un sort. Sa ne m'étonnerais pas.


 

J'ai aussi vu un homme aux cheveux blonds platine, pâle, un air méprisant collé sur le visage. Il était venu voir Frank, et l'elfe l'a conduit dans l'aile Ouest du manoir. Là où personne sauf Frank n'a le droit d'aller. Je suis sur qu'il cache quelque chose, quelque chose de monstrueux, sa collerais bien avec son personnage, non? Je suis sur que tu est du même avis que moi. Toi aussi tu le déteste, n'est-ce pas?


 

John, s'il te plaît, réponds-moi, et dis-moi quoi faire. Je ne veux pas habiter chez Frank, mais je suis obligé si maman veux me laisser aller à Poudlard. Je m'y suis déjà inscrite, les choses sont faites. Viens nous chercher, emmène-nous loin de ce monstre!


 

J'attends très vite une réponse.

Je t'adore mon oncle préféré.

Ecrire un commentaire

Chapitre 5 L'aile Ouest.

Publié le 23/11/2009 à 18:38 par splendora-story

 

Coucou! Me revoilà avec un nouveau chapitre. Désolé pour le retard.

Bisous à tous.










Chapitre 5.

L'aile Ouest.







Mardi 20 Août.




Quelle nuit! Je n'avais jamais aussi mal dormit! Est-ce le fait d'être dans ce manoir? J'ai passé presque toute la nuit à rêvé de choses effrayantes, et je n'ait pas arrêter de refaire ce rêve étrange de l'autre fois, celui avec le chien noir, ( oui, je me suis décidé à ce que se soit un chien).

Je me demande quel est le rapport avec les évènements de ces temps-ci! Je ne suis pourtant pas effrayé par les chiens, j'adore les animaux!

Non, je crois maintenant que le problème viens d'autre pars. Mais je laisse cela pour plus tard, aujourd'hui promet d'être une journée chargée.


Ma mère et moi devons allez à Poudlard pour mon inscription. J'ai hâte de voir enfin ce magnifique château si célèbre, et ces milles et uns couloirs. Il paraît même que les escaliers font des folies là bas! Je suis si impatiente! Mais ce n'est pas le principal de la journée, je me focalise plus sur le départ de Frank cette après-midi. Il s'en vas vers 12h30, et reviens tard dans la soirée. J'aurais donc tout le temps d'inspecter ces couloirs et la partie Ouest que je n'ai pas vu. Ma mère à prévu d'aller sur le chemin de traverse pour mes fournitures, si bien sur Poudlard veut bien de moi! Mais elle m'a dit de ne pas me faire de soucis, qu'il m'accueillerons à bras ouverts!



Je laissais ma plume en suspend. J'aurais surement des choses plus importantes à raconter après ma balade dans le manoir et mon retour de Poudlard. Je fermais donc mon journal et le mit dans sa nouvelle cachette. Je lui en avait trouver une meilleure que celle de chez moi, je me méfier de Frank et de son elfe aux yeux globuleux. Je coinçais mon journal dans une fente du mur, entre mon armoire et le bureau. S'était pratique et la fente ne se voyait pas, cachée derrière la grande lampe du bureau.

La matinée commençait plutôt bien, à part que j'étais coincé dans ce maudit manoir, avec ce maudit Frank! Ma mère devait surement déjà être en bas avec lui, à prendre le petit-déjeuner. Moi, je n'avais absolument pas faim. Cette horrible nuit m'avait secouer l'estomac où une boule de n?"uds s'y étaient formée. Je descendis tout de même dans le hall, que la lumière du jour faisait baigné dans une clarté aveuglante. Pour une fois depuis mon arrivée, je trouvais le hall accueillant et lumineux.


Doucement, j'ouvris la porte de la salle à manger, où nous avions dîner la veille. Frank nous avez aussi montrer la cuisine, où plusieurs elfes travailler et aussi un petit salon à l'épaisse tapisserie verte qui communiquait avec la salle à manger. En entrant, je fus accueillit par le sourire de ma mère, assise à la grande table, seule. Voilà un bon point pour moi, je n'aurais pas à supporter l'amabilité sur jouée de Frank.


-Bien dormit mon ange?me demanda-t-elle.

-Pas vraiment, grognais-je en m'asseyant en face d'elle, devant une assiette où une multitude de toasts grillés étaient entassés.

-Pas étonnant, tu n'as pas arrêté de gigotait dans tous les sens en murmurant des choses incompréhensibles, rit-elle. Ce n'est pas grave, tu te rattraperas cette après-midi. Tu pourras te reposer.

-Oui, peut être,dis-je en engloutissant des toasts. A quelle heure nous partons pour Poudlard?

-Vers 10h00,soupira-t-elle en fronçant les sourcils. Tu sais, Alicia, je suis d'accord pour que tu aille à Poudlard, alors à toi de faire un effort et d'accepter la proposition de Frank.

-C'est du chantage!m'écriais-je.

-Non. Sa s'appelle un compromis, dit-elle en me servant du jus de citrouille.

Je soupirais. Réfléchis un instant, puis lui sourit doucement.

-Très bien, je veux bien vivre ici, mais avec quelques conditions. Premièrement, je ne veux pas qu'on vende notre maison; deuxièmement je veux pouvoir sortir d'ici quand j'en ait envi, et troisièmement...Frank n'as pas le droit d'intervenir dans mon éducation.

Elle me regarda, étonnée.

-Je suis sur qu'il n'avait pas l'intention de le faire, dit-elle.

Je la regardais, sceptique.

-Tu apprendras à le connaître et à l'apprécier,poursuivit-elle. Pour ce qui est de tes conditions, je les trouvent raisonnables, et je n'avais de toute façon pas l'intention de vendre notre petit chez nous, ma chérie.

-Parfait, alors on est d'accord.

-Oh! Au fait, tu as reçut une lettre de Maïly,fit ma mère en me tendant une enveloppe couleur crème.

-Géniale!m'écriais-je en me levant.

Je sortie de la pièce, pour rejoindre précipitamment ma chambre. J'eus juste le temps d'entendre ma mère s'écriait: «Tu ne finit pas ton petit-déjeuner?!». Mais j'avais des choses plus importantes à faire, j'avais absolument besoin d'avoir des nouvelles de Maïly, et de tout lui raconter.

Arrivée dans ma chambre, je m'assit derrière mon bureau et ouvrit la lettre.




Alicia,



Ma mère m'a appris que tu allé t'inscrire aujourd'hui à Poudlard! C'est super, tu n'imagine pas quel point je suis hystérique à l'idée d'être là bas avec toi! On vas mettre le feu à cette école trop tranquille à mon goût! J'ai hâte d'y être!

Il faudrait d'ailleurs que ta mère et la mienne se parlent pour fixer un jour et aller sur le chemin de traverse ensemble, acheter nos fournitures!

Ce seras une journée super!


Passons aux choses moins joyeuses maintenant...genre Frank.


Comment est-il? Ma mère m'a dit que son manoir était immense, et qu'il était très riche mais je n'en sais pas plus, alors j'attends de toi un résumé complet et détaillé de se qui c'est passer! Vas-tu rester là bas avec ta mère? Frank te plait ou pas? Il est gentil? Aimable? Ou est-ce un horrible type?

Réponds-moi vite s'il te plait, je meurs d'impatience de savoir!!


Je t'embrasse fort ma s?"ur de c?"ur!


Maïly.


P.S: J'ai ton éclair de feu, il est génial. Il faudrait que je te le rendes!Bisous.


Je souris, avoir des nouvelles de ma meilleures amie, de ma s?"ur, me faisait du bien. J'allais enfin pouvoir tout lui dire, elle avait exigé un résumé détaillé, et bien elle allait en avoir un.



Maïly,


C'est bon d'avoir enfin de tes nouvelles! Ne t'inquiètes pas de mon éclair de feu, je le sais en parfaite sécurité avec toi, et je ne pense pas que tu soit si pressé de me le rendre! Je parlerais à ma mère de la journée fournitures, c'est promis. Pour ce qui est de Frank, ta mère à raison il est plus que riche et son manoir est immense, mais atroce. On se croirait dans un château hanté, comme dans les films d'horreurs moldus que tu me décris souvent.

Qui plus est l'elfe de Frank ne me dit rien qui vaille, et lui non plus!


J'ai l'impression qu'il embobine bien ma mère, avec ces airs de gentleman, et son amabilité forcée envers moi. Je sais qu'il est mauvais, cela se voit, en tout cas pour moi. Il n'est pas quelqu'un de bien, et je comprend pourquoi John le détestes! Mais écoutes-bien ça, je suis certaine qu'il était à Serpentard, quand il était à l'école. Son manoir regorge de table en forme de serpents, et tout est presque vert,sauf ma chambre qui est d'un rouge grenat horrible. Je détestes ce manoir, je détestes cette elfe, et je hais par dessus tout Frank! Mais je ne me fait pas d'idées, lui aussi me hais, je l'ait bien vu dans son regard.


Bref, écris-moi vite pour me donner tes bons conseils!

Que dois-je faire? M'opposer à leur relation, même si je n'en est pas le droit?

Rendre la vie de Frank impossible?


Enfin, passons à des choses plus joyeuses.

Moi, aussi j'ai hâte d'aller à Poudlard!

Au fait, quand est-tu allé t'inscrire?Est-ce que tu est déjà répartit dans une maison?

Si c'est le cas, je pris pour qu'on soit dans la même et de préférence pas à Serpentard!

Ma mère me dit que j'irais surement à Gryffondor, prions pour ça!


Je t'embrasse aussi très fort ma s?"ur!


Alicia.




Je pliais la lettre et la mit dans une enveloppe. Puis, je me dirigeais vers la cage d'Anatol, l'hiboux de ma mère, et lui remit la lettre, pour qu'il l'envoies à meilleure amie. Je me demandais dans qu'elle maison j'allais être, et si le professeur Dumbledore allait me répartir dans une maison dans son bureau, où à la rentrée, devant tout le monde. ?Štre le centre d'intérêt de tous me gênais légèrement, mais je me dis que je n'allais pas être seule dans se cas, Maïly serait avec moi.

Je restais quelques instants à regarder Anatol s'envoler dans le ciel bleu azur de cette belle journée, et assise sur le rebord de la fenêtre de ma chambre, je soupirais. Il n'était que 9h30, et il restais encore une demi-heure avant le départ pour Poudlard. J'avais si hâte d'être inscrite!

Je fixais le vague, et me surprit à observait pendant un instant les alentours. Le domaine autour du manoir était gigantesque. Je voyais d'ici de grandes étendues d'arbres aux épais feuillages. Puis, comme je l'avais vu en arrivant ici, une rivière coulait sur le côté droit du domaine. A part cela, ce n'était que terre boueuse et herbe sèche. Rien de très beau. Frank avait pourtant beaucoup d'argent, et il n'a même pas jugé bon de se faire un magnifique jardin. A moins qu'il ne le trouve déjà fantastique comme cela, avec les goûts qu'il a ça ne m'étonnerais pas vraiment.

Alors que je regardais toujours les alentours, un pop sonore me fit sursauter. Une personne aux visage caché par une volumineuse capuche noir venait de transplaner dans le jardin, juste devant le petit portail, donnant l'accès au perron. Il allait surement voir Frank. J'avais un mauvais pressentiment, et je ne voulais pas que ma mère aille ouvrir à cet inconnu.

Je sortie à toute vitesse de ma chambre, traverser les différentes couloirs et doucement j'approchais des escaliers du hall d'entrée. Je vis l'elfe ouvrir la porte et fus soulagé. Appuyé contre le grand pilier qui se trouvait en haut des escaliers, je restais dans l'ombre et attendit de voir le visage de cet invité.


-...mon maître va vous recevoir monsieur, je vous pris de me suivre,disait l'elfe.

L'inconnu avait baissé sa capuche sur ses épaules, et je voyais maintenant ses longs et brillants cheveux blonds platines, ainsi que son visage cireux et pâle. Il avait un regard dur, comme de la glace et son torse bombé ainsi que son menton relevait lui donnait un air suffisant et dédaigneux. Il regarda dégoûté l'elfe et le suivit vers l'escalier.

Peut être allait-il dans l'aile Ouest? Je me cachais derrière le pilier et attendit qu'ils passent tous les deux. L'homme ne me vit pas, mais il se retourna tout de même comme pour voir s'il n'était pas suivit. Je trouvais cela de plus en plus louche.





?€?................................


10h05. Poudlard.



Un grand portail de fer se dressait devant nous, les pointes des barreaux aussi aiguisées que les dents d'un loup. Nous n'avions pas attendu longtemps avant d'apercevoir un homme d'un certain âge approché de la grille, un air bougon et des mèches de cheveux épars sur son crâne légèrement dégarni. Il avait l'air fort aimable!

-Vous êtes?dit-il.

-Mlle Montez, dit ma mère. Nous avons rendez-vous avec le professeur Dumbledore.

L'homme grogna, et ouvrit le portail. Nous entrâmes et il nous conduisit jusqu'à l'entrée de l'école. Le château était immense, comme dans les livres, et j'aperçus même le grand parc, derrière, où un magnifique terrain de quidditch s'étendait. J'avais hâte de pouvoir jouer sur un balais. Voler était mon activité préféré, en dehors des nombreuses farces que je faisais dans mon ancienne école. ?‰trangement, cela me rendit un peu nostalgique de quitter l'école de sorcellerie où j'avais passé trois ans, mais l'euphorie d'entrer à Poudlard surmonter ce sentiment.

L'homme nous fit avancer jusque dans le grand hall, où des torches accrochées aux murs rendaient l'endroit chaleureux et accueillant. J'avais déjà l'impression d'être chez moi, en sécurité.

-La directrice adjointe va vous recevoir avant, pour l'inscription et elle vous conduiras au bureau du professeur Dumbledore, grogna l'homme, que je soupçonner d'être le concierge, en nous laissa devant une porte de bois sombre aux gravures magnifiques. Ma mère frappa trois petits coups, et la porte s'ouvrit d'elle-même. Je restais derrière ma mère pendant qu'elle entrée.

-Mlle Montez!s'écria une voix au bout de la pièce.

En effet, la directrice adjointe était assise derrière un grand bureau, ses lunettes posées sur son long nez, ses cheveux tirés à l'arrière de sa tête en un chignon très strict.

-Mme McGonagall!dit ma mère à son tour. Comme je suis ravit de vous voir. Cela fait si longtemps!

La directrice se leva, un sourire fendait son visage.

-Oh!oui, il y a trop longtemps que vous avez été mon élève, dit-elle, puis se tournant vers moi, elle parut tout d'abord surprise et me détailla de la tête au pied. Ainsi, cette jeune demoiselle, est votre fille. Alicia, c'est ça?

-Oui, répondis-je.

J'avais l'impression d'être passé au détecteur de mensonges, avec son regard perçant et son air sévère.

-J'ai l'impression que Poudlard va retrouvez sa jeunesse cette année!dit-elle, plus pour elle-même que pour nous, mais je vis tout de même les yeux de ma mère se voiler quelques secondes.

Je froncer les sourcils. Qu'est-ce que cela voulait dire au juste?

-Bien, passons à la paperasse maintenant,poursuivit la directrice adjointe. Rien de bien méchant rassurez-vous, juste quelques signatures.

Ma mère s'approcha du bureau et signa les quelques papiers nécessaires à mon inscription. Elle discuta des raisons pour lesquelles je n'étais pas venu ici pour ma première année, et tout et tout...


La vérité c'est que j'ai un an de retard, enfin disons plutôt que j'ai un an d'avance, c'est comme vous voulez....

En réalité, ma mère ne m'as mise à l'école qu'à l'âge de 12 ans, pour je-ne-sais-quelle-raison, ce qui fait que j'ai 14 ans et que je passe en troisième année. Bizarre, non? Si, et qui plus est je ne croule pas sous les explications, car ma mère change de sujet et trouve toujours quelque chose à faire d'autre que me répondre. J'ai abandonné il y a bien longtemps de toute façon...


Après que ma mère est signé tout les papiers, et autres documents, nous nous dirigeâmes vers le bureau du directeur, et une fois passé par l'escalier tournant, nous nous retrouvâmes devant la grande porte de bois sombre. Ma mère toqua quelques coups, et la porte s'ouvrit tout seule, suivit d'un «Entrez mesdames» de la part du directeur.


Il était assis derrière son bureau de ministre, ses lunettes en demi-lunes posées sur son nez aquilin, et sa longue barbe blanche touchant le bord du bureau. Il se leva, ou grand sourire sur le visage.


-Gabrielle! Cela fait si longtemps!s'exclama-t-il.

-Trop longtemps professeur, dit-elle.

-Et pourtant, vous êtes toujours aussi belle!

Ma mère sourit, et le vieux directeur se tourna lentement vers moi. Il me fixait avec une étrange lueur dans les yeux, et quelque chose traversa ses prunelles bleus. Je ne su dire quoi. Il me détailla de la tête au pied, comme pour imprimer ma vision dans sa tête. Bizarre.

-Tu dois être Alicia,dit-il. Ta mère m'a beaucoup parler de toi, ainsi qu'une certaine Maïly, qui c'est inscrite il n'y a pas longtemps, si je ne me trompe?

-Oui professeur,dis-je. Maïly, est ma meilleure amie, ont été à la même école avant.

-Bien que que je suis très heureux d'accueillir deux nouvelles élèves dans mon établissement, pourrais-je savoir pourquoi vous avez quitté cette école?

-Nous déménagerons surement bientôt à Londres, et Alicia avait très envie de venir étudier ici,dit ma mère.

-Je vois, dit-il. Ma curiosité est satisfaite, maintenant je ne peux que te souhaitez la bienvenue.

-Merci,murmurais-je.

-Je suis sur que tu te plairas ici Alicia.





.o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o0o.




12h35.



Penchée à ma fenêtre, assise sur le rebord, je voyais Frank parlait avec l'elfe de maison qui, je venais de l'apprendre, s'appelle Tore. Une seconde après, Frank transplana. Aussitôt qu'il disparut, je me précipité hors de ma chambre mais je fus coupé dans mon élan par Tore qui se planta devant moi. J'essayais de le contourner, mais en vain il ne cèderais on dirait. Que me voulait-il?

-Tu pourrais pas te pousser s'il te plaît?lui demandais-je d'un ton calme.

-J'en suis le premier navré, mademoiselle, mais mon maître ma demandé de vous surveiller toute la journée,dit-il.

-Quoi?! Me surveiller?!

-Oui, mon maître n'aimerais pas que vous chambouliez tout son manoir, alors il ma chargé de me tenir près de vous.

-Et tu fait tout ce que te dit ton maître?demandais-je.

-Bien sur.

-C'est stupide,décrétais-je. Tu ne préfèrerais pas aller faire autre chose que de surveiller une gamine innocente?

-Innocente n'est pas le qualificatif que mon maître à employé.

Je haussais les sourcils, et croisais mes bras sur ma poitrine.

-Et quel qualificatif a-t-il employer?

-Il ne me permettrais pas de vous le dire,murmura l'elfe.

-Je suis sur que si.

Malheureusement, comme d'habitude avec ma chance légendaire, l'elfe ne parla pas et garda pour lui l'avis de son maître sur moi. De toute façon, je sais très bien ce que penser Frank, et je pouvais dire que s'était réciproque. Je le détestais, et il me détestais. Vise Versa.

Je passais le temps de l'absence de Frank a essayer d'éviter ce maudit elfe, mais il connaissait surement des passages secrets. Après tout s'était un grand manoir, il y avait surement beaucoup de choses que je n'avais pas encore découverte. Comme l'aile Ouest, que je devais normalement visité aujourd'hui! Mais avec cet elfe dans les pattes, je ne ferais rien!A moins que...


J'entrais dans la chambre de ma mère. Elle portait une longue robe bleu nuit, magnifique et ses longs cheveux blonds retombaient derrière son dos.

Elle était occupé à plier ses vêtements, soigneusement.


-Tu t'ennuies tellement, que tu préfère ranger?ricanais-je.

-Je ne m'ennuies pas,répondit-elle d'un ton un peu plus sec que la normale.

Je fus tout de suite déstabilisé.

-Tout va bien?lui demandais-je.

-Oui, bien sur, continua-t-elle sur un ton dure et froid. Tu ne devrais pas traîner comme ça dans le manoir. Il y a des choses de valeurs ici, tu risquerais de les casser! Frank n'apprécierais pas!

Je fronçais les sourcils. Qu'arrivait-il à ma mère si douce d'habitude? Elle n'était pas comme ça lors de notre visite à Poudlard.

-Arrêtes maman, je vois bien qu'il y a quelque chose qui ne va pas!Dis-moi,poursuivis-je en m'approchant d'elle.

-Tu n'a pas à me parler sur ce ton Alicia Amélia Montez!s'indigna-t-elle sous mes yeux surpris.

-Quoi?

-Les affaires des grandes personnes ne concernent pas les enfants. Va faire un tour dehors, que je soit un peu tranquille.


Elle retourna à ses affaires, et je quittais la chambre d'un pas lent. J'oubliais totalement le petit plan que j'avais manigancé pour aller dans l'aile Ouest, et je courrais à ma chambre. Ma mère n'était pas dans un état normal. Qu'est-ce que Frank lui avait fait? Et quand surtout? J'étais resté avec elle toute la journée..sauf au dîner! Oh, non. A tout les coups, il en avait profité pour glisser quelque chose dans son verre, ou pour lui jeter un sort.

Je fermais la porte derrière moi, et m'installais au bureau. Je pris du parchemin, une plume et de l'encre et rédigeais une lettre à la seule personne qui pouvait me venir en aide.



John,


J'espère vraiment que tu recevras cette lettre très vite, et que tu y répondras. C'est très important. Je ne sais pas si maman t'en a déjà parler dans une lettre, mais nous allons habiter chez Frank VanDorft. Je suis chez lui en ce moment, et je peux te dire que ce n'est pas le grand amour entre lui et moi. Je crois même qu'il me déteste, et moi je le hais. Il est odieux, et fait tout pour que maman le trouve fantastique.

Mais ce n'est à la limite pas le plus important pour l'instant. Le problème c'est que depuis quelques heures, maman ne se comporte pas comme d'habitude. Elle est devenue froide et dure avec moi. Je viens de lui parler, et elle était si distante et méchante.

Je suis sur que Frank est derrière tout ça. Ils ont déjeuner tous les deux et il a surement du lui faire boire quelque chose ou lui jeter un sort. Sa ne m'étonnerais pas.


J'ai aussi vu un homme aux cheveux blonds platine, pâle, un air méprisant collé sur le visage. Il était venu voir Frank, et l'elfe l'a conduit dans l'aile Ouest du manoir. Là où personne sauf Frank n'a le droit d'aller. Je suis sur qu'il cache quelque chose, quelque chose de monstrueux, sa collerais bien avec son personnage, non? Je suis sur que tu est du même avis que moi. Toi aussi tu le déteste, n'est-ce pas?


John, s'il te plaît, réponds-moi, et dis-moi quoi faire. Je ne veux pas habiter chez Frank, mais je suis obligé si maman veux me laisser aller à Poudlard. Je m'y suis déjà inscrite, les choses sont faites. Viens nous chercher, emmène-nous loin de ce monstre!


J'attends très vite une réponse.

Je t'adore mon oncle préféré.


Ecrire un commentaire